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ires, tantôt se crispe en tyrannies, qui sont des
désordres
fixés. Seul l’effort de la science (dont le sous-produit est l’indust
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s de la liberté, progressant entre les écueils du
désordre
et de la tyrannie… Le schéma de ce progrès est simple. Pour peu que l
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ntrainte, l’anarchie et la tyrannie, ou encore le
désordre
et le faux ordre. Et partout la devise est la même : union dans la di
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hie est mauvaise, c’est parce qu’elle implique le
désordre
. Mais une réglementation simpliste et uniforme, elle aussi, implique
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simpliste et uniforme, elle aussi, implique mille
désordres
, puisqu’elle se traduit nécessairement par mille applications tyranni
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ranniques — et que « la tyrannie est le souverain
désordre
», comme l’écrivait, en une sentence mémorable, le Vaudois Alexandre
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ntrainte, l’anarchie et la tyrannie, ou encore le
désordre
et le faux ordre. Et partout la devise est la même : union dans la di