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, presque impossibles à prévoir aujourd’hui, mais
dont
il est certain qu’elles apparaîtront, et dans lesquelles nos formes a
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soupçonnés de notre barbarie, créent l’immobilité
dont
le sous-produit nommé lenteur est vénéré par quelques sectes populair
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des désordres fixés. Seul l’effort de la science (
dont
le sous-produit est l’industrie) enregistre un progrès constant et me
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s croyances un peu folles, mais assez naturelles,
dont
je ne donnerai que trois exemples : 1. la science a toujours raison ;
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hodes de conditionnement social et physiologique,
dont
le principe général sera d’obnubiler et de refouler avec une extrême
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ue signifierait sa perte ? Quel que soit le parti
dont
nous sommes membres, et quelle que soit notre patrie, nous sentons bi
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la diversité des couples d’éléments antagonistes
dont
le dialogue se perpétue en chacun de nous et se renouvelle à chaque g
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, parce que l’Europe est divisée en vingt nations
dont
aucune, isolée, n’a plus la taille qu’il faut, pour parler et se fair
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guerre entre la Russie et l’Amérique — une guerre
dont
quel que soit le vainqueur, s’il en est un, l’humanité tout entière s
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oi demeure invariable. Et quel que soit le désir,
dont
beaucoup témoignent, d’assurer l’exercice réel de la liberté de consc
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uer l’indulgence pour certains criminels sociaux,
dont
le nombre est infime. Ensuite, la question de savoir si les adventist
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lème posé par les méthodes totalitaires. Les pays
dont
le régime se fonde sur le respect déclaré des libertés fondamentales,
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s, ou qu’il est dangereux de créer des précédents
dont
mille sectes à l’avenir pourront être tentées d’abuser. Le premier ar
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e parce que l’Europe est divisée en vingt nations
dont
aucune, isolée, n’a plus la taille qu’il faut pour parler et se faire
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guerre entre la Russie et l’Amérique — une guerre
dont
, quel que soit le vainqueur, s’il en est un, l’humanité tout entière
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n seul type de drug-store, et une morale moyenne,
dont
l’idée générale est justement d’éviter les conflits quotidiens et non
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une notion de l’homme issue du christianisme, et
dont
dérivent les grands concepts de liberté et de justice, de dignité de
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a personne et de responsabilité sociale, concepts
dont
se réclament, au xxe siècle, les « humanistes » aussi bien que les c
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économiques, juridiques, politiques et sociales,
dont
chacun reconnaît l’urgence, et que le Mouvement européen promeut, res
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rendre conscient et agissant. Telle est la tâche
dont
le congrès de La Haye, il y a un an, proclamait la nécessité. La sect
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portant sur ce qui existe dans l’état de division
dont
nous souffrons, les autres sur ce qui peut naître dans une Europe déb
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st une œuvre très importante qui a nom : l’Europe
dont
les problèmes culturels, en particulier, accaparent tout mon temps. E
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économiques, juridiques, politiques et sociales,
dont
chacun reconnaît l’urgence et que le Mouvement européen promeut, rest
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et animant le foyer même d’une action historique,
dont
on a pu dire que le but était « l’Europe helvétisée ». l. Rougemon
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inée par une certaine orientation de nos énergies
dont
j’ai toujours pensé qu’elle relève, au départ, de quelque choix métap
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tre auteur implique une décision inverse de celle
dont
les suites nécessaires nous ont conduits aux impasses présentes. Nous
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ne secte contre une autre, ou quelque association
dont
je fais partie, mais une idée et une méthode. Je n’ai jamais rencontr
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ttus par l’élan vers l’union, vers la fédération,
dont
témoignent notre Mouvement, l’espoir encore tremblant des masses, l’A
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on dans une chambre nocturne, et les institutions
dont
nous allons parler ! « Qu’est-ce que cela peut bien me faire ? dit le
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un mauvais écrivain) — au destin de la communauté
dont
il écrit la langue, où sa voix porte, qui peut le nourrir ou l’asserv
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Supprimer tous ces droits de douane ou de visas,
dont
le bénéfice est dérisoire pour les États, dont la charge est ruineuse
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s, dont le bénéfice est dérisoire pour les États,
dont
la charge est ruineuse pour la culture. Et surtout ne proposons pas,
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e la création d’un Centre européen de la culture,
dont
les attributions furent esquissées par la résolution culturelle du co
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question. Il a conduit aux conclusions pratiques
dont
l’exposé détaillé se trouve dans le rapport relatif au Centre culture
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ttrait de former les « grands commis européens »,
dont
les futures institutions de l’Europe unie auront évidemment besoin. E
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Fonds européen pour les recherches scientifiques,
dont
l’importance capitale ne saurait échapper à personne, et dont M. Daut
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tance capitale ne saurait échapper à personne, et
dont
M. Dautry a magistralement exposé les motifs. III. L’enseignement
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cation européenne, c’est une mission de vigilance
dont
les intellectuels des pays libres doivent se sentir plus que jamais r
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ux civilisations plus jeunes, filles de la nôtre,
dont
l’une, qui nous est chère, cultive un idéal eudémonique, l’idéal d’un
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rs égales ailleurs : une main-d’œuvre spécialisée
dont
les traditions ne s’imitent pas, une capacité d’invention que le mond
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« pur délice » pouvait entrer dans la durée, — ce
dont
plusieurs doutaient, de ma génération. (D’où quelque résistance aux p
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as d’empressement. Ou dans cette chambre d’angle,
dont
il parle dans Neiges, « hôte précaire de l’instant, homme sans preuve
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illusion : temps faible d’un grand rythme souple,
dont
il devrait être interdit de l’isoler.) Comparez avec Rilke, notre plu
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age français, et de cette « rhétorique profonde »
dont
parlait un jour Baudelaire. III. L’Europe étant vision de l’homme dan
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d’une âme sans nom — l’inconscient d’une époque —
dont
le poète déchiffre les messages. Itinéraires et inventaires, sommatio
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de bonheur, et de grandir dans le bonheur, — ceux
dont
les chants heureux sont les plus beaux ? J’en vois si peu. Dante, Joh