1 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
1 , presque impossibles à prévoir aujourd’hui, mais dont il est certain qu’elles apparaîtront, et dans lesquelles nos formes a
2 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
2 soupçonnés de notre barbarie, créent l’immobilité dont le sous-produit nommé lenteur est vénéré par quelques sectes populair
3 des désordres fixés. Seul l’effort de la science ( dont le sous-produit est l’industrie) enregistre un progrès constant et me
4 s croyances un peu folles, mais assez naturelles, dont je ne donnerai que trois exemples : 1. la science a toujours raison ;
5 hodes de conditionnement social et physiologique, dont le principe général sera d’obnubiler et de refouler avec une extrême
3 1948, Articles divers (1948-1950). Pour sauver nos diversités (le sens de La Haye) (juin 1948)
6 ue signifierait sa perte ? Quel que soit le parti dont nous sommes membres, et quelle que soit notre patrie, nous sentons bi
7 la diversité des couples d’éléments antagonistes dont le dialogue se perpétue en chacun de nous et se renouvelle à chaque g
4 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
8 , parce que l’Europe est divisée en vingt nations dont aucune, isolée, n’a plus la taille qu’il faut, pour parler et se fair
9 guerre entre la Russie et l’Amérique — une guerre dont quel que soit le vainqueur, s’il en est un, l’humanité tout entière s
5 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
10 oi demeure invariable. Et quel que soit le désir, dont beaucoup témoignent, d’assurer l’exercice réel de la liberté de consc
11 uer l’indulgence pour certains criminels sociaux, dont le nombre est infime. Ensuite, la question de savoir si les adventist
12 lème posé par les méthodes totalitaires. Les pays dont le régime se fonde sur le respect déclaré des libertés fondamentales,
13 s, ou qu’il est dangereux de créer des précédents dont mille sectes à l’avenir pourront être tentées d’abuser. Le premier ar
6 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
14 e parce que l’Europe est divisée en vingt nations dont aucune, isolée, n’a plus la taille qu’il faut pour parler et se faire
15 guerre entre la Russie et l’Amérique — une guerre dont , quel que soit le vainqueur, s’il en est un, l’humanité tout entière
16 n seul type de drug-store, et une morale moyenne, dont l’idée générale est justement d’éviter les conflits quotidiens et non
7 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
17 une notion de l’homme issue du christianisme, et dont dérivent les grands concepts de liberté et de justice, de dignité de
18 a personne et de responsabilité sociale, concepts dont se réclament, au xxe siècle, les « humanistes » aussi bien que les c
19 économiques, juridiques, politiques et sociales, dont chacun reconnaît l’urgence, et que le Mouvement européen promeut, res
20 rendre conscient et agissant. Telle est la tâche dont le congrès de La Haye, il y a un an, proclamait la nécessité. La sect
21 portant sur ce qui existe dans l’état de division dont nous souffrons, les autres sur ce qui peut naître dans une Europe déb
8 1949, Articles divers (1948-1950). « Le promoteur de l’émission Demain l’Europe nous dit… » (1er juillet 1949)
22 st une œuvre très importante qui a nom : l’Europe dont les problèmes culturels, en particulier, accaparent tout mon temps. E
9 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
23 économiques, juridiques, politiques et sociales, dont chacun reconnaît l’urgence et que le Mouvement européen promeut, rest
24 et animant le foyer même d’une action historique, dont on a pu dire que le but était « l’Europe helvétisée ». l. Rougemon
10 1950, Articles divers (1948-1950). Préface à Le Problème de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)
25 inée par une certaine orientation de nos énergies dont j’ai toujours pensé qu’elle relève, au départ, de quelque choix métap
26 tre auteur implique une décision inverse de celle dont les suites nécessaires nous ont conduits aux impasses présentes. Nous
27 ne secte contre une autre, ou quelque association dont je fais partie, mais une idée et une méthode. Je n’ai jamais rencontr
11 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
28 ttus par l’élan vers l’union, vers la fédération, dont témoignent notre Mouvement, l’espoir encore tremblant des masses, l’A
29 on dans une chambre nocturne, et les institutions dont nous allons parler ! « Qu’est-ce que cela peut bien me faire ? dit le
30 un mauvais écrivain) — au destin de la communauté dont il écrit la langue, où sa voix porte, qui peut le nourrir ou l’asserv
31 Supprimer tous ces droits de douane ou de visas, dont le bénéfice est dérisoire pour les États, dont la charge est ruineuse
32 s, dont le bénéfice est dérisoire pour les États, dont la charge est ruineuse pour la culture. Et surtout ne proposons pas,
33 e la création d’un Centre européen de la culture, dont les attributions furent esquissées par la résolution culturelle du co
34 question. Il a conduit aux conclusions pratiques dont l’exposé détaillé se trouve dans le rapport relatif au Centre culture
35 ttrait de former les « grands commis européens », dont les futures institutions de l’Europe unie auront évidemment besoin. E
36 Fonds européen pour les recherches scientifiques, dont l’importance capitale ne saurait échapper à personne, et dont M. Daut
37 tance capitale ne saurait échapper à personne, et dont M. Dautry a magistralement exposé les motifs. III. L’enseignement
38 cation européenne, c’est une mission de vigilance dont les intellectuels des pays libres doivent se sentir plus que jamais r
39 ux civilisations plus jeunes, filles de la nôtre, dont l’une, qui nous est chère, cultive un idéal eudémonique, l’idéal d’un
12 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
40 rs égales ailleurs : une main-d’œuvre spécialisée dont les traditions ne s’imitent pas, une capacité d’invention que le mond
13 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
41 « pur délice » pouvait entrer dans la durée, — ce dont plusieurs doutaient, de ma génération. (D’où quelque résistance aux p
42 as d’empressement. Ou dans cette chambre d’angle, dont il parle dans Neiges, « hôte précaire de l’instant, homme sans preuve
43 illusion : temps faible d’un grand rythme souple, dont il devrait être interdit de l’isoler.) Comparez avec Rilke, notre plu
44 age français, et de cette « rhétorique profonde » dont parlait un jour Baudelaire. III. L’Europe étant vision de l’homme dan
45 d’une âme sans nom — l’inconscient d’une époque — dont le poète déchiffre les messages. Itinéraires et inventaires, sommatio
46 de bonheur, et de grandir dans le bonheur, — ceux dont les chants heureux sont les plus beaux ? J’en vois si peu. Dante, Joh