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Mimer enfin, par anticipation sur l’issue de nos
efforts
présents, les conduites qui pourront résulter du succès même de ces e
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uites qui pourront résulter du succès même de ces
efforts
. (C’est ce qu’oublient ou refusent d’imaginer beaucoup de nos meneurs
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itions de leur victoire, mais non ses suites.2) L’
effort
le plus soutenu, le mieux organisé et le plus proche de son succès qu
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os déplacements, et la durée moyenne de la vie. L’
effort
métaphysique et religieux s’est relâché à partir du xviiie siècle ;
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ieux s’est relâché à partir du xviiie siècle ; l’
effort
pour trouver un équilibre humain plus large et plus fécond que celui
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et plus fécond que celui du confort en a pâti. L’
effort
pour établir un ordre social acceptable, tantôt se disperse entre vin
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n tyrannies, qui sont des désordres fixés. Seul l’
effort
de la science (dont le sous-produit est l’industrie) enregistre un pr
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cependant freinée par diverses passions que notre
effort
technique a laissées se développer, ou même a provoquées. Par exemple
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r que l’unilatéralité, la spécialisation de notre
effort
scientifique, provoque ainsi les forces les mieux faites pour mettre
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rométhéenne. Une autre conséquence indirecte de l’
effort
scientifique doit être indiquée ici. La vulgarisation de la notion de
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t dès lors imaginables. 1. Nous poursuivons notre
effort
technique (maîtrise de l’énergie atomique) en laissant en friche le c
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ossible. Les frontières deviennent insensibles. L’
effort
technique peut alors élargir ses triomphes : neutralisation du milie
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ablissement d’un gouvernement mondial, libérant l’
effort
scientifique. (Je note ce sentiment, incapable de preuve, à titre de
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anité, et qui résulterait du succès même de notre
effort
le plus constant ? Ce serait à coup sûr l’Ennui. Ce sentiment spécif
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ence, ou encore : la répartition indifférente des
efforts
et des sollicitations, empêchant toute concentration sur un point cho
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nouveaux standards d’utilité et de valeur. Mais l’
effort
de cette élite, au lieu de se tourner vers la matière — désormais « d