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ue l’Europe du xxe siècle n’a plus le choix « qu’
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la balkanisation et l’helvétisation ». La balkanisation signifierait
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aire le secret d’un équilibre constamment mouvant
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des forces qu’il s’agit de composer, non de soumettre l’une à l’autre
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s il consiste précisément dans l’équilibre souple
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l’union et l’autonomie des parties, dans leur composition vivante en
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ir un ordre social acceptable, tantôt se disperse
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vingt sectes politiques contradictoires, tantôt se crispe en tyrannie
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mais les moyens de cette victoire sont désormais
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nos mains. La principale résistance au progrès technique déjà n’est p
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anent, bien souvent dramatique, parfois tragique,
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plusieurs doctrines ou plusieurs confessions, une vingtaine de nation
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ariées à l’infini qu’il lui est possible d’opérer
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les éléments contradictoires constituant son patrimoine, réside la ch
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l’histoire des risques de la liberté, progressant
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les écueils du désordre et de la tyrannie… Le schéma de ce progrès es
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u d’une synthèse vivante, mais aussi d’un conflit
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des exigences également valables mais pratiquement antagonistes. Cet
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à-dire fournira un prétexte permanent à la guerre
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USA et URSS ; 3° Rien ne pourra s’opposer à cette guerre entre la Rus
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URSS ; 3° Rien ne pourra s’opposer à cette guerre
entre
la Russie et l’Amérique — une guerre dont quel que soit le vainqueur,
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. On imagine tous les conflits qui peuvent surgir
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une croyance aussi intransigeante et des règlements aussi sévères, po
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à-dire fournira un prétexte permanent à la guerre
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USA et URSS ; 3° Rien ne pourra s’opposer à cette guerre entre la Rus
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URSS ; 3° Rien ne pourra s’opposer à cette guerre
entre
la Russie et l’Amérique — une guerre dont, quel que soit le vainqueur
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t nous dire : tous ces gens, qu’ont-ils de commun
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eux ? Quelle unité voyez-vous dans tout cela ? Eh bien, c’est simple
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ire les nations, supprimer toutes les différences
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la France et l’Allemagne, par exemple, ni contester qu’il faille à no
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ui se placent sur un plan européen. Deux exemples
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vingt : le Bureau d’études de Genève vient d’organiser une rencontre
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’études de Genève vient d’organiser une rencontre
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les responsables d’une dizaine d’instituts visant à la formation d’un
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n’ont disparu en se fédérant, mais où les guerres
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nations deviendraient aussi impossibles que la guerre entre nos canto
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ons deviendraient aussi impossibles que la guerre
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nos cantons. Imaginez ensuite cette grande Europe aussi décidée que l
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s ses ruines, elle constate qu’elle est détrônée.
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les deux empires vainqueurs, subitement élevés à l’Est et à l’Ouest,
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papier. Je voudrais formuler ici deux remarques,
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toutes celles que ne manquera pas de suggérer cette enquête efficace
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mpromis » nécessaire, dans le domaine économique,
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les dirigistes et les libéraux. Mais cette opposition n’est pas la se
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sont écrivains. Il y a des gouffres, des abîmes,
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la création dans une chambre nocturne, et les institutions dont nous
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de ce mouvement, au milieu de notre xxe siècle ?
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les deux colosses russe et américain, l’Européen qui vient de perdre
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espoir, mais seulement un effort de redressement.
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200 millions de Russes et 150 millions d’Américains, nous sommes ici
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ie. Deux constatations très simples me suffiront.
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l’Amérique et nous, qu’y a-t-il de commun ? Il y a tous les principes
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nous le même idéal de liberté humaine. Tandis qu’
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les Russes et nous, il n’y a en commun qu’un mot : le mot démocratie…
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remarques sur les relations qui se sont révélées
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le poète et l’âme lyrique du Nouveau Monde, dans un ouvrage où l’Amér
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ités entières sur leurs disques qui nous filaient
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les doigts — grands virements de comptes et glissements sur l’aile.
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l’emportement lyrique4. (Ainsi l’Amérique idéale,
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ses « origines » et son délire global…) II. Anabase et Vents sont par