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t le désir, dont beaucoup témoignent, d’assurer l’
exercice
réel de la liberté de conscience, il arrive que la lettre d’un décret
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ourt”. Autoriser une religion sans en permettre l’
exercice
, c’est, en fait, refuser cette liberté qu’on se flatte de lui accorde
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titutionnelles propres à garantir et développer l’
exercice
de la pensée libre, sans laquelle l’Europe n’est plus rien. On pourra
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nt, de trouver les moyens qui permettent le libre
exercice
de nos vocations tourmentées ; des moyens de vivre, oui, mais selon n
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pes fondamentaux de notre civilisation ; il y a l’
exercice
des mêmes libertés ; il y a devant nous le même idéal de liberté huma