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nt l’Europe n’est plus une puissance qui pourrait
exiger
la paix, mais chacune des nations qui la composent se voit menacée d’
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dire la Troisième puissance, qui serait capable d’
exiger
la paix, de l’inventer pour les deux autres. Et si l’on me dit que l’
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nt l’Europe n’est plus une puissance qui pourrait
exiger
la paix, mais chacune des nations qui la composent se voit menacée d’
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-dire la troisième puissance qui serait capable d’
exiger
la paix, de l’inventer pour les deux autres. Et si l’on me dit que l’
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est, en effet, créer la seule puissance capable d’
exiger
la paix, de l’inventer pour les deux autres. Imaginez cette Europe gr
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imple : c’est que l’union économique du continent
exige
son union politique. Voilà, me semble-t-il, une manière implicite d’a
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ls veulent, qui disent clairement leur fin et qui
exigent
ses moyens, je les appelle fédéralistes. Il n’est pas juste de les co
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her un compromis : chacune des tendances opposées
exige
d’aller au bout de sa vocation, car elle perdrait sa qualité constitu
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nt de prison à prison. Elles doivent au contraire
exiger
leur « élargissement » immédiat, sans condition. Le terme même « d’éc
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la méthode de « l’organisation des échanges », 2°
exiger
la suppression pure et simple, immédiate, des obstacles à la libre ci
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hapitre sur les passeports : « Le passeport n’est
exigé
que pour la Russie. Pour l’entrée dans tous les autres pays, la carte
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nal. Cette tâche, comme l’écrit M. Jean Bayet8, «
exigera
la bonne volonté de plusieurs générations, [mais] réclame aussi un dé