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avec les réalités humaines du pays. La Suisse est
formée
d’une multitude de groupes politiques, culturels, administratifs, lin
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seront les criminels sociaux par excellence. Ils
formeront
dans la clandestinité un prolétariat secret, probablement nomade, qui
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ui soient à l’échelle continentale. Il faut aussi
former
les jeunes hommes qui deviendront les porteurs de l’idée fédérale, sa
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ière. Pourtant, il est incontestable que nos pays
forment
un ensemble, un complexe organique de culture, facile à distinguer de
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ge d’Europe, à Bruges, collège qui permettrait de
former
les « grands commis européens », dont les futures institutions de l’E
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création d’une élite responsable de jeunes gens,
formés
dans un esprit supranational. Cette tâche, comme l’écrit M. Jean Baye