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e utile, la seule qui réussisse et qui progresse.
Vous
semblez croire que nous sommes libres, après Heisenberg et la Bombe,
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tout. Pardon ! La science produit des preuves que
vos
superstitions seraient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle gué
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e, ses spéculations les plus « folles » ! Libre à
vous
de prendre pour but l’évocation des fées du Moyen Âge : jamais une fé
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une fée n’a fait tourner le moindre moteur. Nous
vous
laissons à vos enfantillages. — Bien, dis-je, la preuve que la scienc
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t tourner le moindre moteur. Nous vous laissons à
vos
enfantillages. — Bien, dis-je, la preuve que la science n’est pas fol
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’il y a cent ans. Voilà qui est sérieux, me dites-
vous
. Et voilà qui est utile au surplus. Personne n’osant le contester aut
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ule pensée les explosions cosmiques, etc. Libre à
vous
de prendre pour but la construction d’un moteur atomique : jamais un
8
n moteur atomique n’a évoqué la moindre fée. Nous
vous
laissons à vos enfantillages.1 2. Utopies et prévisions La fa
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e n’a évoqué la moindre fée. Nous vous laissons à
vos
enfantillages.1 2. Utopies et prévisions La faiblesse général
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petite pour tenir en respect les deux Grands, je
vous
rappellerai un seul chiffre, qu’on a tendance à oublier : La populati
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Il y a ceux qui nous disent : Nous ne boudons pas
votre
mouvement, mais tout de même nous restons à l’écart, vous courez trop
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vement, mais tout de même nous restons à l’écart,
vous
courez trop de dangers de « mystifications » par les forces impériali
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s la revue Esprit cette phrase que je propose à
votre
admiration : Affirmer une vigilance de fer (à l’égard du mouvement f
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leurs rapports avec certain parti totalitaire. Si
vous
voulez la paix, vous devez vouloir ses moyens : l’Europe unie est le
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ertain parti totalitaire. Si vous voulez la paix,
vous
devez vouloir ses moyens : l’Europe unie est le plus sûr ; si vous vo
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r ses moyens : l’Europe unie est le plus sûr ; si
vous
voulez l’Europe, vous devez vouloir le fédéralisme, si vous voulez de
17
e unie est le plus sûr ; si vous voulez l’Europe,
vous
devez vouloir le fédéralisme, si vous voulez demeurer libres, enfin,
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z l’Europe, vous devez vouloir le fédéralisme, si
vous
voulez demeurer libres, enfin, c’est aujourd’hui qu’il faut en courir
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xceptions négligeables » J’entends bien ce que
vous
disent les gens pressés : qu’il ne s’agit que de cas fort rares, que
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ous avons l’air de dire moins, beaucoup moins, en
vous
parlant de notre petite Europe. Nous allons faire figure de provincia
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école, nos buts finaux sont bien les mêmes. Mais
vos
discours, mes chers amis, nous les prenons au mot. Et nous vous propo
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mes chers amis, nous les prenons au mot. Et nous
vous
proposons une méthode de travail, un mouvement qui est déjà au travai
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’ont-ils de commun entre eux ? Quelle unité voyez-
vous
dans tout cela ? Eh bien, c’est simple : tous ces gens partagent le m
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. En Amérique, tout est plus simple, évidemment :
vous
avez une langue, une nation, une doctrine dominante, un parti au pouv
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. » C’est une manière de dire : « Allez-y, faites-
vous
tuer, nous suivrons de loin vos efforts, et si vous gagnez par miracl
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Allez-y, faites-vous tuer, nous suivrons de loin
vos
efforts, et si vous gagnez par miracle, bien entendu, nous vous rejoi
27
us tuer, nous suivrons de loin vos efforts, et si
vous
gagnez par miracle, bien entendu, nous vous rejoindrons, nous en sero
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et si vous gagnez par miracle, bien entendu, nous
vous
rejoindrons, nous en serons tous… » Il y a ceux qui nous applaudissen
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y a ceux qui nous disent : « Nous ne boudons pas
votre
mouvement, mais tout de même nous restons à l’écart, vous courez trop
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vement, mais tout de même nous restons à l’écart,
vous
courez trop de dangers de ‟mystifications” par les forces impérialist
31
uple sur les places. Faites des gestes ! Déchirez
votre
passeport ! et nous vous donnerons notre nom — mais sans rien déchire
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s des gestes ! Déchirez votre passeport ! et nous
vous
donnerons notre nom — mais sans rien déchirer, bien entendu. Ce qu’il
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s faut, disent-ils, ce sont des apôtres ! En avez-
vous
? » Pour ceux-là, nous avons du travail. Je leur dis : s’il vous faut
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eux-là, nous avons du travail. Je leur dis : s’il
vous
faut des apôtres, si vous y tenez vraiment tant que ça, pourquoi ne s
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ail. Je leur dis : s’il vous faut des apôtres, si
vous
y tenez vraiment tant que ça, pourquoi ne seriez-vous pas le premier
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y tenez vraiment tant que ça, pourquoi ne seriez-
vous
pas le premier ? Diogène avait bien tort quand il cherchait un homme
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tions qui ont vu le jour au cours des siècles, et
vous
savez comment la Suisse a su atteindre ces trois buts, en se fédérant
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il y a cent ans. À l’instant même où nous venons
vous
surprendre dans cette annexe toute neuve du Palais Wilson, qu’êtes-vo
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ette annexe toute neuve du Palais Wilson, qu’êtes-
vous
en train de préparer ? Je mets la dernière main à un ouvrage sur la S
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des pour un Centre européen de la culture. Pouvez-
vous
, très succinctement, nous parler de la mission de ce Centre européen
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« Mais entrez donc, apportez-nous les secrets de
votre
bonheur, nous vendrons notre droit d’aînesse contre vos belles autos
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nheur, nous vendrons notre droit d’aînesse contre
vos
belles autos et vos dollars. » Si nous refusons, c’est que nous avons
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notre droit d’aînesse contre vos belles autos et
vos
dollars. » Si nous refusons, c’est que nous avons encore le sentiment
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édérés. Aux unionistes, je tiendrai ce langage :
Vous
dites, messieurs, qu’il faut être prudents quand on s’engage dans une
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si vaste. C’est aller trop vite en besogne : car
vous
ne vous êtes, jusqu’ici, engagés dans rien que l’on sache. Quand vous
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e. C’est aller trop vite en besogne : car vous ne
vous
êtes, jusqu’ici, engagés dans rien que l’on sache. Quand vous y serez
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usqu’ici, engagés dans rien que l’on sache. Quand
vous
y serez, il sera temps de voir si la prudence, ou au contraire un peu
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e d’une respiration organisée, n’est-il pas vrai,
vous
coupe le souffle. Qu’on n’essaie pas de créer par décrets l’unité de
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là le remède pratique à presque tous les maux que
vous
allez recenser. II. Les institutions À la suppression des obsta
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ami, Ce n’est pas sans surprise que j’apprends, à
vous
lire dans Liberté de l’Esprit, que les fédéralistes ont exclu la Russ
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stes, il n’y a pas un mot de vrai dans tout cela.
Vous
jugez notre projet « imbécile ». Celui que vous critiquez est tel san
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. Vous jugez notre projet « imbécile ». Celui que
vous
critiquez est tel sans aucun doute. Mais d’où sort-il ? Je ne connais
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octrine, ni son action, ni ses espoirs. Reprenons
vos
observations dans l’ordre où je viens de les relever. 1° « La Russie,
54
ens de les relever. 1° « La Russie, qu’est-ce que
vous
en faites ? Croyez-vous qu’il soit possible de l’exclure sans lui fai
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La Russie, qu’est-ce que vous en faites ? Croyez-
vous
qu’il soit possible de l’exclure sans lui faire violence ? » Mais qua
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ire violence ? » Mais quand l’avons-nous exclue ?
Vous
démontrez, au paragraphe suivant, qu’il serait vain d’espérer l’inclu
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erait vain d’espérer l’inclure. Que diable voulez-
vous
donc que nous en fassions ? (On m’assure que cela dépend aussi de Sta
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ien, il paraît qu’ils sont là !… » Je ne sais qui
vous
l’a dit, mais c’est une fausse nouvelle. Vous voyez la preuve qu’elle
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qui vous l’a dit, mais c’est une fausse nouvelle.
Vous
voyez la preuve qu’elle serait vraie dans le fait que « le Conseil de
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qui dise que c’était cela que nous voulions : je
vous
en montrerai trente qui disent le contraire. Le mieux que l’on puisse
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extremis (que les Européens n’aiment pas du tout,
vous
par exemple), ce n’est pas « annoncer » la fin de la maladie, ni prom
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ou d’imbécile » dans le projet des fédéralistes,
vous
décidez de les interroger. Que ne le faites-vous ? Mais non, par une
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vous décidez de les interroger. Que ne le faites-
vous
? Mais non, par une erreur vraiment embarrassante, vous choisissez Ju
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Mais non, par une erreur vraiment embarrassante,
vous
choisissez Julien Benda, qui est à peu près aussi fédéraliste que vou
65
n Benda, qui est à peu près aussi fédéraliste que
vous
êtes stalinien ou moi bouddhiste. Vous prenez vos « fédéralistes » da
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aliste que vous êtes stalinien ou moi bouddhiste.
Vous
prenez vos « fédéralistes » dans L’Esprit européen, recueil de neuf c
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ous êtes stalinien ou moi bouddhiste. Vous prenez
vos
« fédéralistes » dans L’Esprit européen, recueil de neuf conférences
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ssible. » C’est la seule page de ce gros livre où
vous
aviez la chance de tomber sur un point de la doctrine fédéraliste. Qu
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n point de la doctrine fédéraliste. Que ne l’avez-
vous
citée, au lieu de m’attribuer des sottises ? 7° Notre doctrine (qui v
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Benda (qui veut l’unification, formule jacobine)
vous
déclarez que la seconde n’est que « l’aveu » de ce que la première di
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imule. Après quoi, bien sûr, plus rien ne saurait
vous
arrêter. J’aime beaucoup votre défense des patries, mais qui les atta
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lus rien ne saurait vous arrêter. J’aime beaucoup
votre
défense des patries, mais qui les attaque ? L’État-nation d’abord, ma
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ais qui les attaque ? L’État-nation d’abord, mais
vous
n’en parlez pas. Garry Davis ? Vous l’approuvez. Les fédéralistes ? J
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d’abord, mais vous n’en parlez pas. Garry Davis ?
Vous
l’approuvez. Les fédéralistes ? Jamais. Au contraire, vous rejoignez
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prouvez. Les fédéralistes ? Jamais. Au contraire,
vous
rejoignez ici une partie de leurs positions, et votre belle colère se
76
s rejoignez ici une partie de leurs positions, et
votre
belle colère se trompe d’adresse. De quoi ce lapsus est-il révélateur
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s est-il révélateur ? Pour quelle raison attaquez-
vous
des gens que vous n’avez pas pris le soin d’identifier ? Vous n’êtes
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r ? Pour quelle raison attaquez-vous des gens que
vous
n’avez pas pris le soin d’identifier ? Vous n’êtes pas coutumier, tou
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s que vous n’avez pas pris le soin d’identifier ?
Vous
n’êtes pas coutumier, tout de même, de l’à-peu-près journalistique. P
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de l’à-peu-près journalistique. Pour en finir, je
vous
envoie ma petite brochure sur L’Attitude fédéraliste . Vous y trouve
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ma petite brochure sur L’Attitude fédéraliste .
Vous
y trouverez beaucoup d’attaques contre le nationalisme, contre l’État
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crit qu’ils estiment un peu obscur. Si mon projet
vous
paraît encore « faux et imbécile », quand vous aurez renoncé à le con
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et vous paraît encore « faux et imbécile », quand
vous
aurez renoncé à le confondre avec celui de Benda, ou celui de Churchi
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chill pendant qu’on y est, dites-nous donc ce que
vous
proposez. Car je ne vais pas vous faire l’injure de croire que vous t
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ous donc ce que vous proposez. Car je ne vais pas
vous
faire l’injure de croire que vous trouvez que tout va très bien ainsi
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je ne vais pas vous faire l’injure de croire que
vous
trouvez que tout va très bien ainsi, ou que vous pensez que nos patri
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vous trouvez que tout va très bien ainsi, ou que
vous
pensez que nos patries pourront durer rien qu’en se faisant toutes pe
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toutes petites et mignonnes. Elles ont besoin de
vous
aussi, non point pour les louer contre nous, mais pour les défendre a