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pour un petit pays, mais n’est pas applicable aux
grands
. » On a raison s’il ne s’agit que des modalités typiquement suisses d
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te en soi. Elle est très simple, comme toutes les
grandes
idées, mais non pas simple à définir en quelques mots, en une formule
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erra jamais sans une méfiance légitime certains «
grands
» prendre l’initiative d’une fédération européenne ou mondiale. L’éch
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r. (Mais c’est celui, précisément, dans lequel la
grande
majorité de nos contemporains traduisent les résultats de la science
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la littérature avec l’époque industrielle et ses
grandes
villes. Il est contemporain des horaires, qui furent probablement la
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es, on ne pourrait imaginer le fonctionnement des
grandes
usines, l’alimentation, la circulation et les spectacles dans une agg
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a ne m’ennuient pas, mais bien la traversée d’une
grande
ville inconnue. Ce qui provoque l’ennui, dans un cas comme dans l’aut
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se faire entendre, dans le monde dominé par deux
grands
empires. Et non seulement l’Europe n’est plus une puissance qui pourr
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encore trop petite pour tenir en respect les deux
Grands
, je vous rappellerai un seul chiffre, qu’on a tendance à oublier : La
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raditions, presque autant de langues, cinq ou six
grandes
cultures, d’innombrables morales contradictoires, et je ne sais combi
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droits humains à l’opportunité ou aux intérêts du
grand
nombre, et l’on sait aujourd’hui où cela peut conduire. Danger des
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ct des libertés qui furent inscrites au seuil des
grandes
constitutions, la Liberté et la Démocratie cesseraient d’être raillée
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la note suivante : « Il n’est pas de petite ou de
grande
liberté. Il n’y a que la liberté “tout court”. Autoriser une religion
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Vél’ d’Hiv’ pour le gouvernement mondial, sur ce
grand
élan pour la paix, nous avons ici nos idées. Cette idée en particulie
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e. Je suis au contraire convaincu d’avoir fait un
grand
pas en avant en embrassant la cause européenne. Voici pour quelles ra
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faire entendre, dans le monde dominé par les deux
grands
empires. Et non seulement l’Europe n’est plus une puissance qui pourr
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encore trop petite pour tenir en respect les deux
Grands
, je rappellerai un seul chiffre, qu’on a tendance à oublier : La popu
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er le genre humain dans les quinze jours, le plus
grand
choc que l’on puisse réserver, c’est de les faire prendre une part ac
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raditions, presque autant de langues, cinq ou six
grandes
cultures, d’innombrables morales contradictoires, et je ne sais combi
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qui se donnerait l’air de provoquer l’un des deux
grands
, sans créer pour autant la force nécessaire pour décourager l’agressi
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e nos avant-gardes fédéralistes, et d’imprimer un
grand
élan à notre propagande populaire, ou pour mieux dire : à l’informati
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omme issue du christianisme, et dont dérivent les
grands
concepts de liberté et de justice, de dignité de la personne et de re
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ons, unir leurs forces dispersées, leur rendre un
grand
marché en supprimant les douanes, et créer des pouvoirs européens, ca
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ations nationalistes. c) Étude et formulation des
grands
thèmes de la propagande générale du Mouvement européen. Ici, nos inte
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u mois de février 1949, M. Denis de Rougemont, le
grand
fédéraliste, parle chaque semaine au micro du « dialogue » qu’est l’E
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enter pour les deux autres. Imaginez cette Europe
grande
ouverte où les nations ne disparaîtraient pas davantage que nos canto
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guerre entre nos cantons. Imaginez ensuite cette
grande
Europe aussi décidée que la Suisse à ne faire la guerre à personne, m
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uise. Paix, liberté, prospérité, tels ont été les
grands
motifs de toutes les confédérations qui ont vu le jour au cours des s
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ntale, afin qu’ils puissent examiner ensemble les
grandes
questions qui affectent la vie de l’Europe, et s’exprimer à leur suje
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tre nations, à demi ruiné, et menacé par les deux
Grands
de colonisation ou d’annexion. Naguère encore maîtresse de la planète
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ons, unir leurs forces dispersées, leur rendre un
grand
marché en supprimant les douanes, et créer des pouvoirs européens cap
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la radio, les revues, auprès des élites comme du
grand
public ; formation d’équipes de travail internationales, etc.). Je vo
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s par le xixe siècle qu’elle ne traduit dans ses
grandes
lignes certaines attitudes humaines ou décisions fondamentales. Déter
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g, les cadres politiques de l’Europe unie, il est
grand
temps de définir la visée, la portée humaine de cette action, la voca
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pproche des catastrophes. On demande à certains «
grands
noms » de venir participer au sauvetage de l’Europe. Ils nous réponde
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eurs exigences. Il nous faut aujourd’hui faire un
grand
pas de plus, et créer des institutions qui garantissent et manifesten
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à Bruges, collège qui permettrait de former les «
grands
commis européens », dont les futures institutions de l’Europe unie au
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s, pour nous, d’opposer une nation européenne aux
grandes
nations de l’Est et de l’Ouest ; ni de vouloir une « culture européen
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uantas et celle des groupes, la sociologie et les
grandes
synthèses historiques, la relativité généralisée et la physique nuclé
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poésie, théâtre et sculpture : presque tous leurs
grands
noms sont des noms de l’Europe, et les très rares qui n’en sont pas o
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ent ; mais ce n’est point par hasard que ces deux
grands
pays semblent appeler ce procédé de description : leurs traits les pl
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omme ceux qui vont très loin, ou qui pensent à de
grands
objets. Ce sont des hommes qui n’ont pas d’empressement. Ou dans cett
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du bon usage de l’exil : sans plainte, au cœur du
grand
litige ; aussi actif dans la réceptivité qu’il avait su rester sensib
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les « à la sortie des salles » et leur nylon, les
grands
rapides « avec leur provision de glace pour cinq jours », la « mouett
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lité du poème et de cette Amérique ourdie par les
grands
vents : le mouvement, la violence heureuse, et la vision globale du «
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eurs disques qui nous filaient entre les doigts —
grands
virements de comptes et glissements sur l’aile. L’apposition me semb
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e des « blues » fait illusion : temps faible d’un
grand
rythme souple, dont il devrait être interdit de l’isoler.) Comparez a
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dit de l’isoler.) Comparez avec Rilke, notre plus
grand
témoin de l’exil intérieur en Europe. L’un parle de hauteur, d’exulta
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hypothèse critique, qui permettrait de situer les
grands
poèmes du siècle. Si l’élément sentimental domine chez Apollinaire, i
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ui-ci, Lorsque le ciel en Ouest est à l’image des
grandes
crues, Qu’il prend conseil de ces menées nouvelles au lit du vent.
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és, chez Saint-John Perse, ouvrent les voies d’un
grand
lyrisme américain. Ils sont classiques. Les continents, les peuples e
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ne cité émergeant de son rêve. C’étaient de très
grandes
forces en croissance sur toutes pistes de ce monde, et qui prenaient
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pluriel insistant et les catégories, l’adjectif «
grandes
» et le mot « monde » à chaque page : il ne s’agit plus d’états d’âme
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’attendrons un soir d’automne, avec le souffle du
grand
vent, sur la route et la terre des hommes, prêts à rendre nos comptes
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us n’avons pas d’auteur qui donne à l’âme de plus
grands
mouvements… qui nous remplisse plus de la vapeur du dieu qui l’agite.
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xemples au hasard de ma mémoire.) 5. Où sont les
grands
poètes capables de bonheur, et de grandir dans le bonheur, — ceux don