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rialisme d’une nation vaut aussi pour celui d’une
idéologie
. On pourrait définir l’attitude fédéraliste comme un refus constant e
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’enfermer dans sa particularité (nation, parti ou
idéologie
), soit qu’il prétende l’imposer à tous d’une manière uniforme, donc t
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ique. Diversité et division des nations et des
idéologies
Cette description succincte de l’homme européen nous met en mesure
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te règle vaut aussi pour nos doctrines, partis et
idéologies
. Aussi indispensables que les nations à la vie de la culture et à la
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étatiques cloisonnent l’Europe verticalement, les
idéologies
et les partis la cloisonnent horizontalement. Ils penchent vers l’aut
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des mœurs et des doctrines, ou du triomphe d’une
idéologie
. C’est d’abord impossible, et chacun peut le voir : ni la gauche, ni
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it l’Europe sans son génie. Ce n’est donc pas une
idéologie
qui fera l’Europe, puisque le problème est justement de la faire sans
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s commencer par la dénaturer. Mais à défaut d’une
idéologie
, il existe une méthode politique, qui nous paraît prédestinée à surmo
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ue ou ne suggère aucun élément passionnel, aucune
idéologie
politique, il m’a paru poser le plus clairement possible la question
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des mœurs et des doctrines, ou du triomphe d’une
idéologie
. C’est d’abord impossible, et chacun peut le voir : ni la gauche, ni
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it l’Europe sans son génie. Ce n’est donc pas une
idéologie
qui fera l’Europe, puisque le problème est justement de la faire sans
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commencer par la dénaturer. Mais à défaut d’une
idéologie
, il existe une méthode politique, qui nous paraît prédestinée à surmo