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s servent en fait d’alibis. Nous sommes tentés de
justifier
en leur nom des attitudes qu’en d’autres temps l’on eût appelées faib
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stricts : toute absence d’un élève qui n’est pas
justifiée
par des raisons « réputées légitimes », telle que maladie, réunion de
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iste depuis tant de siècles. Mais l’expression se
justifie
sitôt que l’on songe à la brusque transformation que vient de subir l
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une névrose d’infériorité. Pourtant, les faits ne
justifient
pas le désespoir, mais seulement un effort de redressement. Entre 200