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irique de nos ancêtres. 1. Le fédéralisme ne peut
naître
que du renoncement à toute idée d’hégémonie éducatrice ou organisatri
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e de l’union véritable. 2. Le fédéralisme ne peut
naître
que du renoncement à tout esprit de système. Ce qui vaut pour l’impér
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dans une agglomération vaste et dense.) « L’ennui
naquit
un jour de l’uniformité », dit-on. Mais c’est l’excès de variété qui
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en ceci de tout autre challenge imaginable, qu’il
naît
de l’absence même de menaces définies. (On ne peut pas s’ennuyer dans
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i ne concernent pas l’homme de la rue. La culture
naît
d’une prise de conscience de la vie ; elle illustre, traduit et prome
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ses, et au total son dynamisme incomparable, sont
nés
précisément de ces tensions, de ces dialogues, de cette infinie polém
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ses, et au total son dynamisme incomparable, sont
nés
précisément de ces tensions, de ces dialogues, de cette infinie polém
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n dont nous souffrons, les autres sur ce qui peut
naître
dans une Europe débarrassée de ses frontières étatiques, enfin « rend
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action vitale de l’Europe et de la culture. Elles
naissent
et meurent avec l’esprit fédéraliste, qui est le génie de l’union dan
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fectif des Experts. Je vois bien que ce règne est
né
d’une réaction contre la politique de l’éloquence (qu’on appelle, par
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rs à l’Autorité. Le plan Schuman, parce qu’il est
né
d’une décision proprement politique, pourra marquer, s’il aboutit, le
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cette opposition n’est pas la seule. L’Europe est
née
, elle a vécu d’antagonismes. Elle mourrait de leur suppression artifi
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organismes « culturels » que le xxe siècle a vu
naître
, il est frappant de constater qu’il n’en existe pas un seul qui ait p
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Humanité. Drôle d’évidence. (C’est l’OECE qui est
née
du plan Marshall.) 4° M. Spaak est un homme d’État qui agit plus que
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iberté. Ces deux réalités : l’Europe, la culture,
naissent
et meurent du même mouvement. ⁂ Qu’en est-il donc de ce mouvement, au