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it pratiquement la désintégration du continent en
nationalismes
rivaux. L’helvétisation signifierait l’intégration fédérale des natio
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que) en laissant en friche le champ des passions (
nationalisme
, politique partisane). Les passions s’emparent de la technique et pro
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re social à tout prix, ni la notion d’État, ni le
nationalisme
, car l’Amérique ou la Russie s’en chargent. Et s’il ne s’agissait que
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liberté des échanges n’a pas suffi à réduire les
nationalismes
; bien au contraire, c’est elle qui, par la suite, a succombé devant
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ien clair que nous n’entendons pas substituer aux
nationalismes
locaux une sorte de nationalisme européen. L’Europe s’est, de tout te
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substituer aux nationalismes locaux une sorte de
nationalisme
européen. L’Europe s’est, de tout temps, ouverte au monde entier. Ell
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monde. Une Europe affaiblie, et divisée par vingt
nationalismes
et autant de barrières de douanes, ne saurait plus être un pôle d’att
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. Vous y trouverez beaucoup d’attaques contre le
nationalisme
, contre l’État-nation, contre sa prétendue souveraineté sans limites.