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r, qu’ils tiennent pour la suprême autorité.) Les
notions
de choix arbitraire, de subjectivisme, de transcendance, sont de nouv
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ue doit être indiquée ici. La vulgarisation de la
notion
de loi (au sens déterministe et mécaniste que lui donnait la science
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menaces qui pèsent sur nous mettent en cause une
notion
de l’homme, un mode de vie, un idéal de liberté, que symbolise depuis
4
e monde entier en serait appauvri. C’est donc une
notion
de l’homme et de la liberté qui est en définitive notre vrai bien com
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e toutes les activités publiques et privées à une
notion
toujours plus haute et large de l’homme et de sa liberté ; aménager e
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liberté. Si nous cherchons maintenant dans quelle
notion
commune de l’homme et de sa destinée se fonde cette critique alternée
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ons : c’est l’idéal de la personne humaine. Cette
notion
d’origine chrétienne, acceptée et reprise par l’humanisme, est celle
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ts un certain angle de vision de la destinée, une
notion
de l’homme issue du christianisme, et dont dérivent les grands concep
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ace blanche, ni l’ordre social à tout prix, ni la
notion
d’État, ni le nationalisme, car l’Amérique ou la Russie s’en chargent