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néralement admise de l’humanité sur la planète. D’
où
il résulte que notre expérience fédérale ne représente guère que la d
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ne prend son sens et sa valeur que dans la mesure
où
il meurt et se perd dans le développement des forces et des formes qu
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autement élaboré, se développera dans un ensemble
où
son identité formelle se perdra, certes, mais pour revivre magnifiée
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système quantitatif ; il y a fédéralisme partout
où
c’est la qualité qui prime. Par exemple : le totalitarisme voit une i
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es coutumes de notre vie politique et culturelle,
où
l’on voit la Suisse romande ou la Suisse italienne jouer un rôle sans
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vie réelle des nations. Dans l’état de faiblesse
où
il les met, il les livrera fatalement à l’unification forcée, soit pa
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esse. Il dépend de nous que le jour soit prochain
où
les voix concertées de l’Europe, proclament leur fédération, pourront
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a lettre d’un décret tue l’esprit de tolérance là
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il existe, ou serve de prétexte facile à l’esprit d’intolérance. En S
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utte, il a envoyé sa fille dans un canton voisin,
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la loi paraît plus tolérante. L’instruction primaire de son enfant lu
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ne mérite pas trop d’indignation, dans une époque
où
il s’agit d’abord de sauver des millions d’innocents jetés aux camps
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copique, c’est en réalité céder sur le seul point
où
les démocraties libérales se distinguent essentiellement et radicalem
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ntérêts du grand nombre, et l’on sait aujourd’hui
où
cela peut conduire. Danger des lois trop simples Il est clair q
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ire prendre une part active à l’un de ces congrès
où
s’élabore notre fédération européenne. Car c’est précisément quand on
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esse. Il dépend de nous que le jour soit prochain
où
les voix concertées de l’Europe, proclamant leur fédération, pourront
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modeste Bureau d’études. Il a son siège à Genève,
où
il travaille depuis le mois de février de cette année. Son programme
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deux autres. Imaginez cette Europe grande ouverte
où
les nations ne disparaîtraient pas davantage que nos cantons n’ont di
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ue nos cantons n’ont disparu en se fédérant, mais
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les guerres entre nations deviendraient aussi impossibles que la guer
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en se fédérant, il y a cent ans. À l’instant même
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nous venons vous surprendre dans cette annexe toute neuve du Palais W
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on a reconnu que le domaine culturel était celui
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nous pouvions, sans compromettre en rien notre neutralité, jouer le r
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quelle nous sommes engagés. À son point de crise,
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nous sommes, il dépend en partie de nous que l’espoir ait raison du d
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rendront qu’il est certains moments de l’histoire
où
l’on ne peut renverser les destins qu’en y allant tous ensemble, et t
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destin de la communauté dont il écrit la langue,
où
sa voix porte, qui peut le nourrir ou l’asservir, l’écouter ou le cen
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cles, permettant de délimiter des zones critiques
où
concentrer l’effort. Puis, des études plus détaillées, sur des projet
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e vous critiquez est tel sans aucun doute. Mais d’
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sort-il ? Je ne connais pas un seul fédéraliste qui puisse y reconnaî
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espoirs. Reprenons vos observations dans l’ordre
où
je viens de les relever. 1° « La Russie, qu’est-ce que vous en faites
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possible. » C’est la seule page de ce gros livre
où
vous aviez la chance de tomber sur un point de la doctrine fédéralist
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ce dont plusieurs doutaient, de ma génération. (D’
où
quelque résistance aux poèmes qui suivirent. Un jeune amour veut son
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t l’âme lyrique du Nouveau Monde, dans un ouvrage
où
l’Amérique, un jour, découvrira son épopée. ⁂ Vents me paraît bien p
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eures ». Le poème ainsi prend sa source au lieu d’
où
l’Amérique dans l’espace et le temps, et la fureur lyrique dans l’hom
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n un étrange inceste, en une double allitération,
où
l’on étudiera, plus tard, les rôles conjugués de l’étymologie et de l
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! » (Deux exemples au hasard de ma mémoire.) 5.
Où
sont les grands poètes capables de bonheur, et de grandir dans le bon