1 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
1 La faiblesse générale des utopies, c’est qu’elles paraissent moins riches d’avenir que le présent. On peut même dire que l’Utopie
2 s, c’est-à-dire par nos passions. Deux issues me paraissent dès lors imaginables. 1. Nous poursuivons notre effort technique (maî
2 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
3 ologie, il existe une méthode politique, qui nous paraît prédestinée à surmonter la crise européenne : c’est la méthode fédéra
3 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
4 envoyé sa fille dans un canton voisin, où la loi paraît plus tolérante. L’instruction primaire de son enfant lui a coûté la s
5 particulières que suscitent leurs croyances, m’a paru propre à illustrer d’une manière bien précise le problème général de
6 nt passionnel, aucune idéologie politique, il m’a paru poser le plus clairement possible la question de principe du respect
4 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
7 Commencer par l’Europe (février 1949)f Il paraît que l’idée d’un gouvernement mondial vient enfin d’atteindre Paris ;
8 ologie, il existe une méthode politique, qui nous paraît prédestinée à surmonter la crise européenne : c’est la méthode fédéra
5 1950, Articles divers (1948-1950). Préface à Le Problème de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)
9 pays dans le jeu des forces mondiales : l’Europe paraît avoir été défaite, et sa défection à l’Histoire devient une possibili
10 rmation du Comité des ministres en Sénat. Mais il paraît d’ores et déjà hors de question que ce sont les fédéralistes qui ont
11 s’en tenir au possible — et presque rien ne leur paraît possible — tandis que d’autres veulent le nécessaire. Certains déplor
6 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
12 ste à savoir dans quel esprit. À cet égard, il me paraît que certaines expressions chères aux experts et aux documents officie
7 1950, Articles divers (1948-1950). Un gage à Jean Paulhan ! (avril 1950)
13 aline.) 2° « Les États-Unis d’Europe… Eh bien, il paraît qu’ils sont là !… » Je ne sais qui vous l’a dit, mais c’est une fauss
14 qu’ils estiment un peu obscur. Si mon projet vous paraît encore « faux et imbécile », quand vous aurez renoncé à le confondre
8 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
15 s mesures. La première page d’Anabase lorsqu’elle parut , constitua pour nous le fait du prince, toute référence superflue, et
16 ique, un jour, découvrira son épopée. ⁂ Vents me paraît bien plus américain qu’Anabase n’était asiatique. J’y verrais même la