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hilosophe Jaspers que l’Europe du xxe siècle n’a
plus
le choix « qu’entre la balkanisation et l’helvétisation ». La balkani
2
ls pourraient être utilisés ou reproduits sur une
plus
vaste échelle. La question de nos dimensions dans l’espace et dans le
3
que dans sa réalisation à une échelle infiniment
plus
vaste ? Telle est la chance de la Suisse dans l’histoire, pour ce siè
4
Une expérience de laboratoire est nécessairement
plus
réduite de dimensions que ses applications, mais pourtant celles-ci n
5
non pas mécanique ou passionnel, en cela beaucoup
plus
« moderne » et scientifique que les théories totalitaires, liées à l’
6
n d’autre que la politique tout court, au sens le
plus
légitime de ce mot. Elle est donc l’antithèse exacte des méthodes tot
7
ns notre histoire. Il est certain qu’elle a guidé
plus
ou moins consciemment les principales décisions de notre vie politiqu
8
ux la minorité ne représente qu’un chiffre, et le
plus
petit. Pour le fédéraliste, il va de soi qu’une minorité puisse compt
9
e minorité puisse compter pour autant, voire pour
plus
qu’une majorité dans certains cas, parce qu’à ses yeux elle représent
10
es États, mais surtout, et d’une manière beaucoup
plus
efficace, dans les coutumes de notre vie politique et culturelle, où
11
al qui caractérise l’esprit totalitaire. L’amour (
plus
encore que le respect ou que la simple tolérance) des complexités cul
12
e même de ceux qui s’y rattachent. Certes, il est
plus
facile de décréter sur table rase, de simplifier les réalités d’un tr
13
lle qu’on vient de la décrire, suppose infiniment
plus
de soins, d’ingéniosité technique et de compréhension du peuple qu’el
14
peuple qu’elle gouverne. C’est pourquoi je disais
plus
haut qu’elle représente la politique par excellence. Et c’est pourquo
15
genre de la bombe atomique, ses spéculations les
plus
« folles » ! Libre à vous de prendre pour but l’évocation des fées du
16
qu’elle nous permet aujourd’hui d’aller beaucoup
plus
vite qu’il y a cent ans. Voilà qui est sérieux, me dites-vous. Et voi
17
es, les hommes cessent de trouver amusant d’aller
plus
vite, et donc commencent à se demander à quoi cela sert. Supposez que
18
leur victoire, mais non ses suites.2) L’effort le
plus
soutenu, le mieux organisé et le plus proche de son succès qu’ait fou
19
L’effort le plus soutenu, le mieux organisé et le
plus
proche de son succès qu’ait fourni jusqu’ici le monde occidental, c’e
20
iècle ; l’effort pour trouver un équilibre humain
plus
large et plus fécond que celui du confort en a pâti. L’effort pour ét
21
rt pour trouver un équilibre humain plus large et
plus
fécond que celui du confort en a pâti. L’effort pour établir un ordre
22
la possession de certains objets neufs ; 3. aller
plus
vite est un bien en soi. La vitesse accrue est à nos yeux la preuve
23
orales qui en dérivent. La conception du monde la
plus
courante aujourd’hui est celle que les Occidentaux tiennent pour scie
24
’époque de Christophe Colomb : une journée de vol
plus
trois mois de démarches afin d’obtenir les visas, devises, affidavits
25
ses à la portée de toutes les bourses », beaucoup
plus
généreusement que ne le sont les possibilités constructrices pendant
26
oir » la disposition d’un choix d’objets toujours
plus
étendu… 3. Surmonter la Guerre S’il est vrai que les civilisati
27
cipale résistance au progrès technique déjà n’est
plus
dans la matière mais dans l’homme. Notre existence sur la planète n’e
28
ans l’homme. Notre existence sur la planète n’est
plus
menacée par les éléments, mais par nos machines, c’est-à-dire par nos
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la civilisation occidentale se disloque en îlots
plus
ou moins intacts dans une mer de ruines, au-dessus de laquelle se meu
30
e normale », mais les liens profonds sont coupés.
Plus
rien ne va de soi. La méfiance règne. Ceux qui voyagent encore sont d
31
première fois dans l’histoire du monde, il n’y a
plus
qu’une seule civilisation (l’occidentale, enrichie d’apports orientau
32
qui résulterait du succès même de notre effort le
plus
constant ? Ce serait à coup sûr l’Ennui. Ce sentiment spécifiquement
33
horaires, qui furent probablement la création la
plus
typique du xixe siècle. (Sans horaires de tous genres, on ne pourrai
34
st bien difficile de décider si la monotonie crée
plus
d’ennui que la multiplicité des impressions. L’Océan ou les chutes du
35
hallenge en quelque sorte négatif, et par là même
plus
redoutable que tous ceux que la Nature ou nos passions nous imposaien
36
du capitalisme industriel. Marx est l’ancêtre du
plus
puissant État totalitaire. Il n’avait pas prévu des mouvements comme
37
. C’est en elle que nous possédons notre unité la
plus
profonde. Et c’est en la définissant d’une manière actuelle et concrè
38
de sa puissance, le foyer d’une culture inégalée,
plus
intense, plus diverse et créatrice qu’en toute autre région de la pla
39
e, le foyer d’une culture inégalée, plus intense,
plus
diverse et créatrice qu’en toute autre région de la planète. Mais il
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il faut rendre ici au mot de culture son sens le
plus
large et humain. La culture véritable n’est pas un ornement, un simpl
41
ivités publiques et privées à une notion toujours
plus
haute et large de l’homme et de sa liberté ; aménager et transformer
42
re. Dans ce débat auquel chacun de nous participe
plus
ou moins consciemment réside le secret du dynamisme occidental et de
43
e à la Paix — c’est l’Europe. Mais l’Europe n’est
plus
une puissance, parce que l’Europe est divisée en vingt nations dont a
44
divisée en vingt nations dont aucune, isolée, n’a
plus
la taille qu’il faut, pour parler et se faire entendre, dans le monde
45
x grands empires. Et non seulement l’Europe n’est
plus
une puissance qui pourrait exiger la paix, mais chacune des nations q
46
st d’environ 300 millions, c’est-à-dire deux fois
plus
que l’Amérique, et autant que la Russie et tous ses satellites réunis
47
tre simples, parce que l’Europe est la réalité la
plus
complexe de la terre, et qu’il s’agit d’en faire une unité qui puisse
48
ium en passant par le NKVD, le résultat ne serait
plus
l’Europe, mais très exactement ce « petit cap de l’Asie » à quoi se r
49
s devez vouloir ses moyens : l’Europe unie est le
plus
sûr ; si vous voulez l’Europe, vous devez vouloir le fédéralisme, si
50
sa fille dans un canton voisin, où la loi paraît
plus
tolérante. L’instruction primaire de son enfant lui a coûté la somme
51
imples Il est clair qu’une législation non pas
plus
« souple », mais plus complexe et plus précise, suffirait à résoudre
52
qu’une législation non pas plus « souple », mais
plus
complexe et plus précise, suffirait à résoudre des conflits du genre
53
on non pas plus « souple », mais plus complexe et
plus
précise, suffirait à résoudre des conflits du genre de ceux que l’on
54
écrivent dans le détail des centaines de cas bien
plus
rares que celui de nos adventistes. Les lois fiscales, les lois sur l
55
ent. Quand ils se révéleraient deux ou trois fois
plus
nombreux, ce ne serait pas une affaire que d’ajouter quelques clauses
56
religions et des groupes, se montrent soudain les
plus
stricts dans leur refus de considérer les droits d’une petite confess
57
use, ils confirmeraient les principes qui, depuis
plus
d’un siècle, sont la base même de leur indépendance nationale, de leu
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aucune idéologie politique, il m’a paru poser le
plus
clairement possible la question de principe du respect effectif des l
59
de et parle au nom des masses mondiales. Qui dira
plus
? Ici, nous avons l’air de dire moins, beaucoup moins, en vous parlan
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cause européenne. Voici pour quelles raisons, les
plus
simples du monde, mais d’une logique à laquelle, pour ma part, je n’i
61
e à la paix — c’est l’Europe. Mais l’Europe n’est
plus
une puissance parce que l’Europe est divisée en vingt nations dont au
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divisée en vingt nations dont aucune, isolée, n’a
plus
la taille qu’il faut pour parler et se faire entendre, dans le monde
63
x grands empires. Et non seulement l’Europe n’est
plus
une puissance qui pourrait exiger la paix, mais chacune des nations q
64
st d’environ 300 millions, c’est-à-dire deux fois
plus
que l’Amérique, et autant que la Russie et tous ses satellites réunis
65
tre simples, parce que l’Europe est la réalité la
plus
complexe de la terre, et qu’il s’agit d’en faire une unité qui puisse
66
colonisés, atomisés, etc. Et puis — c’est encore
plus
simple — tous ces gens ont en commun le dégoût et la peur immense de
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unifier le genre humain dans les quinze jours, le
plus
grand choc que l’on puisse réserver, c’est de les faire prendre une p
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mesurer leur vraie valeur. En Amérique, tout est
plus
simple, évidemment : vous avez une langue, une nation, une doctrine d
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non pas de les affronter. En Russie, c’est encore
plus
simple : une seule tête, un parti, une police, et pas d’opposition pe
70
ium en passant par le NKVD, le résultat ne serait
plus
l’Europe, mais très exactement, ce « petit cap de l’Asie » à quoi se
71
as Hobbes, et que Nietzsche appelait un jour « le
plus
froid de tous les monstres froids » — l’État-nation, cause et produit
72
s pouvoirs étatiques, les minorités opprimées, et
plus
encore : les simples citoyens. Ainsi sera sauvegardé le droit qui gar
73
enne. ⁂ Il est une phrase que je voudrais bien ne
plus
entendre, pour l’avoir lue dans une centaine de comptes rendus de nos
74
eût mieux fait d’en devenir un lui-même. C’est le
plus
sûr moyen d’en trouver. Une bataille est en train de se livrer pour l
75
devons vouloir ses moyens : l’Europe unie est le
plus
sûr ; si nous voulons l’Europe, nous devons vouloir le fédéralisme ;
76
Finalement, elle a dominé d’une manière beaucoup
plus
subtile, et peut-être plus effective, en imposant à tous les continen
77
d’une manière beaucoup plus subtile, et peut-être
plus
effective, en imposant à tous les continents un certain angle de visi
78
re. Défendre l’Europe, aujourd’hui, ce n’est donc
plus
défendre le capitalisme industriel, ni la puissance militaire, ni la
79
ssus, tous les esprits s’accordent : il faut sans
plus
tarder fédérer nos nations, unir leurs forces dispersées, leur rendre
80
lorsque éclata la guerre de 1939. Politiquement,
plus
de la moitié du genre humain relevait de ses gouvernements, le reste
81
le se retourne contre nous. L’Europe déchue n’est
plus
qu’un petit continent, divisé en vingt-quatre nations, à demi ruiné,
82
ssus, tous les esprits s’accordent : il faut sans
plus
tarder fédérer ses nations, unir leurs forces dispersées, leur rendre
83
dre un isolationnisme suisse : notre pays dépend,
plus
qu’aucun autre, de l’Europe tout entière et de ses destinées. Comment
84
oit devenir le Centre européen de la culture. Les
plus
anciennes traditions de la Suisse la désignent comme siège d’une tell
85
L’Europe est menacée, l’Europe est divisée, et la
plus
grave menace vient de ses divisions », déclarait le Manifeste du con
86
ique. Elle est presque désespérée. Elle est aussi
plus
près que jamais de se résoudre en une synthèse. Il est vrai que l’Eur
87
est en train de se défaire. Elle n’a jamais étép
plus
menacée, plus divisée devant le péril, — plus angoissée et sceptique
88
de se défaire. Elle n’a jamais étép plus menacée,
plus
divisée devant le péril, — plus angoissée et sceptique à la fois. Mai
89
tép plus menacée, plus divisée devant le péril, —
plus
angoissée et sceptique à la fois. Mais il n’est pas moins vrai que po
90
. Je parle d’un espoir tremblant. Le sentiment le
plus
répandu, j’allais dire le plus populaire dans nos pays, c’est en effe
91
t. Le sentiment le plus répandu, j’allais dire le
plus
populaire dans nos pays, c’est en effet la peur, une peur souvent voi
92
de la pensée libre, sans laquelle l’Europe n’est
plus
rien. On pourrait discuter sans fin sur le titre de cette Conférence.
93
r l’Europe, chacun commence par dire : « Il n’y a
plus
d’Europe ! » et finit par offrir une belle définition de ce qu’est l’
94
qui ont fait de l’Europe autre chose et beaucoup
plus
que ce qu’elle est dans sa réalité physique, autre chose que ce fameu
95
us faisons du bon travail ici, personne ne perdra
plus
son temps à se demander ce qu’est la culture. Et comme on juge l’arbr
96
s accablantes et flatteuses, qui ne leur laissent
plus
une seconde pour distinguer l’approche des catastrophes. On demande à
97
ritiques où concentrer l’effort. Puis, des études
plus
détaillées, sur des projets concrets, nous ont été remises. Enfin, le
98
nt pas chercher des moyens de correspondre un peu
plus
facilement de prison à prison. Elles doivent au contraire exiger leur
99
leur vraie force. Et notre objet ne sera pas non
plus
de dénoncer ce qui se pratique ailleurs, car nous ne pouvons réformer
100
mes et autant de barrières de douanes, ne saurait
plus
être un pôle d’attraction. Une Europe proclamant des principes sans l
101
es sans les appliquer fermement, n’aurait bientôt
plus
le droit de parler. Prendre au sérieux la vocation européenne, c’est
102
s intellectuels des pays libres doivent se sentir
plus
que jamais responsables. Il leur incombe de rappeler sans relâche aux
103
. Vocation tragique et féconde, qui nous apparaît
plus
clairement depuis que se dressent à l’Est comme à l’Ouest deux civili
104
essent à l’Est comme à l’Ouest deux civilisations
plus
jeunes, filles de la nôtre, dont l’une, qui nous est chère, cultive u
105
ppant que le bonheur, en Europe, n’ait trouvé ses
plus
hautes expressions que dans quelques tableaux classiques ou paysages
106
quivaut peu ou prou aux États-Unis d’Europe. Bien
plus
, montrez-nous une seule déclaration qui exprime la satisfaction des f
107
rshall.) 4° M. Spaak est un homme d’État qui agit
plus
que tout autre en faveur de l’union européenne, mais je ne sache pas
108
que la première dissimule. Après quoi, bien sûr,
plus
rien ne saurait vous arrêter. J’aime beaucoup votre défense des patri
109
e ce texte exprime le « projet des fédéralistes »
plus
fidèlement que M. Benda. Mais quoi, cette lettre est inutile, si l’on
110
de sa recréation perpétuelle. Et rien ne sert non
plus
d’entretenir le désir créateur, si on le prive des possibilités de s’
111
a puissance. Elle sera peut-être unie, c’est même
plus
que probable, par les soins d’experts étrangers, ou d’une police qui
112
int sa conquête sur elle-même ? son destin et non
plus
sa liberté ? L’Europe sans sa culture, réduite à ce qu’elle est, ne s
113
s sa culture, réduite à ce qu’elle est, ne serait
plus
qu’un cap de l’Asie — et l’Asie n’a jamais passé pour la terre de la
114
des cafés de Paris, ou par nos livres. ⁂ Je dirai
plus
. Le monde moderne tout entier peut être appelé une création européenn
115
outes ces choses, mais nous, nous copions tout au
plus
quelques citations de leurs sages, quelques statues de leurs dieux, o
116
e justement. Calvin et le puritanisme, d’un côté,
plus
les gratte-ciel, le système de Taylor-Bedault à tous les degrés, la c
117
nes ; et de l’autre côté, Marx et notre industrie
plus
l’instruction publique et l’athéisme, l’hypertrophie de l’appareil ét
118
eler ce procédé de description : leurs traits les
plus
frappants et qu’ils croient spécifiques, ne sont souvent que des empr
119
Si bien que l’Amérique et la Russie moderne, dans
plus
d’un sens, sont en réalité notre caricature. ⁂ Mais ici, attention !
120
dans l’action ; soucieux de voir, non d’être vu ;
plus
solidaire, enfin, dans son retrait, des destins molestés de la France
121
r, découvrira son épopée. ⁂ Vents me paraît bien
plus
américain qu’Anabase n’était asiatique. J’y verrais même la meilleure
122
nce humaine ; et d’un agrandissement de l’œil aux
plus
hautes mers intérieures ». Le poème ainsi prend sa source au lieu d’o
123
de ville en ville, de fleuve en fleuve, court aux
plus
vastes houles de la terre… Congénialité du poème et de cette Amériqu
124
interdit de l’isoler.) Comparez avec Rilke, notre
plus
grand témoin de l’exil intérieur en Europe. L’un parle de hauteur, d’
125
l’avoir domptée par les rigueurs voluptueuses du
plus
pur langage français, et de cette « rhétorique profonde » dont parlai
126
outes pistes de ce monde, et qui prenaient source
plus
haute qu’en nos chants, en lieu d’insulte et de discorde Qui se donn
127
et le mot « monde » à chaque page : il ne s’agit
plus
d’états d’âme, de sentiments individuels, mais de « la terre distribu
128
s « voies et façons » et « chants d’un peuple, le
plus
ivre », — il semblera surprenant qu’un Français ait ouvert aux Améric
129
il rêve son retour avec le vent des Amériques. Au
plus
haut point de ce très haut poème, Saint-John Perse a rejoint notre vœ
130
. Car, ainsi que l’écrit Montesquieu — je ne sais
plus
de qui, mais il n’importe : « Nous n’avons pas d’auteur qui donne à l
131
âme de plus grands mouvements… qui nous remplisse
plus
de la vapeur du dieu qui l’agite. » 4. « Avertissement du Dieu ! Av
132
ieu ! » ou « … avec la bête haut cabrée — une âme
plus
scabreuse ! » (Deux exemples au hasard de ma mémoire.) 5. Où sont le
133
bonheur, — ceux dont les chants heureux sont les
plus
beaux ? J’en vois si peu. Dante, John Donne, parfois Claudel, quelque