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ou paysages impressionnistes, dans quelques brefs
poèmes
, quelques prières. C’est par la musique seule de Bach ou de Mozart qu
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t, de ma génération. (D’où quelque résistance aux
poèmes
qui suivirent. Un jeune amour veut son objet incomparable.) Beaucoup
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t de l’œil aux plus hautes mers intérieures ». Le
poème
ainsi prend sa source au lieu d’où l’Amérique dans l’espace et le tem
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n même mouvement à tout ce mouvement lié, que mon
poème
encore dans le vent, de ville en ville, de fleuve en fleuve, court au
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plus vastes houles de la terre… Congénialité du
poème
et de cette Amérique ourdie par les grands vents : le mouvement, la v
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et les trains d’ondes, — et d’autre part, dans le
poème
, il crée littéralement le sens. (Point de départ d’une rhétorique.) U
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ment vers l’Ouest, rebroussé par les vents. Et le
poème
aussi ne prend son sens que dans le mouvement qu’il inspire à l’espri
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se critique, qui permettrait de situer les grands
poèmes
du siècle. Si l’élément sentimental domine chez Apollinaire, interfèr
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tellectuel, c’est dans l’élément animique que les
poèmes
de Saint-John Perse trouvent leurs lois et leurs cadences : Et c’est
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de Lafayette. ⁂ Mais Vents n’est pas seulement le
poème
du lyrisme, le chant profond de l’Amérique. C’est aussi, dans sa dern
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mérique. C’est aussi, dans sa dernière partie, le
poème
du retour à l’Europe, à la France. Nous reviendrons, un soir d’Autom
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des Amériques. Au plus haut point de ce très haut
poème
, Saint-John Perse a rejoint notre vœu. Nous l’attendrons un soir d’au