1
e, en discuter les avantages et les inconvénients
pour
nous autres Suisses. Mais si nous passons du plan de cette microhisto
2
Telle est la chance de la Suisse dans l’histoire,
pour
ce siècle ou pour ceux qui le suivront. La chance d’une graine. Trans
3
e de la Suisse dans l’histoire, pour ce siècle ou
pour
ceux qui le suivront. La chance d’une graine. Transposons maintenant
4
enir ou un décor, parce qu’il aura gardé son idée
pour
lui seul et l’aura épuisée en soi ; ou bien au contraire cette idée q
5
où son identité formelle se perdra, certes, mais
pour
revivre magnifiée aux dimensions continentales. ⁂ Quand on cite l’exe
6
gers est la suivante : « Tout cela est bel et bon
pour
un petit pays, mais n’est pas applicable aux grands. » On a raison s’
7
vivante en vue de leur renforcement mutuel : « Un
pour
tous » mais aussi « Tous pour un ». Dans ce sens, il nous sera permis
8
ement mutuel : « Un pour tous » mais aussi « Tous
pour
un ». Dans ce sens, il nous sera permis de dire que la politique fédé
9
renoncement à tout esprit de système. Ce qui vaut
pour
l’impérialisme d’une nation vaut aussi pour celui d’une idéologie. On
10
vaut pour l’impérialisme d’une nation vaut aussi
pour
celui d’une idéologie. On pourrait définir l’attitude fédéraliste com
11
ues, simples de lignes, claires et satisfaisantes
pour
la logique, mais par là même infidèles au réel, vexantes pour les min
12
que, mais par là même infidèles au réel, vexantes
pour
les minorités, destructrices des diversités qui sont la condition de
13
té ne représente qu’un chiffre, et le plus petit.
Pour
le fédéraliste, il va de soi qu’une minorité puisse compter pour auta
14
iste, il va de soi qu’une minorité puisse compter
pour
autant, voire pour plus qu’une majorité dans certains cas, parce qu’à
15
qu’une minorité puisse compter pour autant, voire
pour
plus qu’une majorité dans certains cas, parce qu’à ses yeux elle repr
16
ons les plus « folles » ! Libre à vous de prendre
pour
but l’évocation des fées du Moyen Âge : jamais une fée n’a fait tourn
17
cation des fées ne sert à rien et ne mène à rien…
pour
le moment. Mais veuillez supposer maintenant que dans quelques lustre
18
xplosions cosmiques, etc. Libre à vous de prendre
pour
but la construction d’un moteur atomique : jamais un moteur atomique
19
est relâché à partir du xviiie siècle ; l’effort
pour
trouver un équilibre humain plus large et plus fécond que celui du co
20
s fécond que celui du confort en a pâti. L’effort
pour
établir un ordre social acceptable, tantôt se disperse entre vingt se
21
ujourd’hui est celle que les Occidentaux tiennent
pour
scientifique. Or elle demeure matérialiste et mécaniste, quand la sci
22
éduisant la matière à quelque chose d’immatériel,
pour
parler un langage grossier. (Mais c’est celui, précisément, dans lequ
23
s résultats de la science d’hier, qu’ils tiennent
pour
la suprême autorité.) Les notions de choix arbitraire, de subjectivis
24
aginable. Sa réalisation pratique et généralisée,
pour
toutes les classes et tous les peuples est cependant freinée par dive
25
fique, provoque ainsi les forces les mieux faites
pour
mettre en échec son ambition prométhéenne. Une autre conséquence indi
26
de machines-outils et de connaissances techniques
pour
maintenir ici et là des apparences de « vie normale », mais les liens
27
ue instantanés sur toute l’étendue de la planète.
Pour
la première fois dans l’histoire du monde, il n’y a plus qu’une seule
28
timent, incapable de preuve, à titre de curiosité
pour
l’historien futur.) 4. Surmonter l’Ennui Dans l’éventualité d’u
29
ou négligées de nos jours, aussi peu imaginables
pour
nous que ne pouvait l’être pour les savants du xviiie siècle la dest
30
i peu imaginables pour nous que ne pouvait l’être
pour
les savants du xviiie siècle la destruction instantanée d’une ville
31
Pour
sauver nos diversités (le sens de La Haye) (juin 1948)c La crise a
32
sur la valeur même de l’Europe, dans le monde, et
pour
chacun de nous. Que signifie l’autonomie du continent, et que signifi
33
ctivités, et qui prescrivent son rôle subordonné.
Pour
nous Européens, tout au contraire, c’est la culture qui exprime le se
34
promouvoir notre culture, cela signifie d’abord,
pour
nous Européens : élargir et approfondir la conception de l’homme et d
35
la tyrannie… Le schéma de ce progrès est simple.
Pour
peu que l’individu, abusant de ses droits et de sa liberté, devenue f
36
l’autarcie, constitue aujourd’hui le pire danger
pour
la vie réelle des nations. Dans l’état de faiblesse où il les met, il
37
auverons notre diversité. Cette règle vaut aussi
pour
nos doctrines, partis et idéologies. Aussi indispensables que les nat
38
lut public européen. c. Rougemont Denis de, «
Pour
sauver nos diversités (le sens de La Haye) », Fédération, Paris, juin
39
nt aucune, isolée, n’a plus la taille qu’il faut,
pour
parler et se faire entendre, dans le monde dominé par deux grands emp
40
ui serait capable d’exiger la paix, de l’inventer
pour
les deux autres. Et si l’on me dit que l’Europe, même unie, serait en
41
ue l’Europe, même unie, serait encore trop petite
pour
tenir en respect les deux Grands, je vous rappellerai un seul chiffre
42
charité générale. C’est avec tous ces hommes — et
pour
eux tous, même malgré eux — qu’il nous faut faire l’Europe. Mais que
43
ne manière décisive. Quand elles y parviendraient
pour
un temps, par la force, il resterait dix autres couples d’adversaires
44
ient que Staline lui-même s’est allié à Churchill
pour
battre Hitler. C’est un fait qu’on n’aime pas rappeler dans leurs mil
45
i intransigeante et des règlements aussi sévères,
pour
peu qu’on veuille se servir de ceux-ci contre celle-là. Je viens d’ex
46
arente. Les élèves adventistes reçoivent dispense
pour
le samedi et si les examens ont lieu ce jour-là, on s’arrange pour qu
47
x israélites, adventistes, etc., qui le demandent
pour
motif religieux, tandis que l’État de Vaud le refuse. Le 1er avril 19
48
e. À ce jour M. D… a subi quatre emprisonnements,
pour
cinquante-sept heures d’absence de sa fille. Un autre père, Albert B…
49
à l’affaire. Une injustice n’est pas moins grave
pour
être unique que pour être quotidiennement perpétrée sur des millions,
50
ustice n’est pas moins grave pour être unique que
pour
être quotidiennement perpétrée sur des millions, et il est curieux qu
51
t devrait en bonne logique provoquer l’indulgence
pour
certains criminels sociaux, dont le nombre est infime. Ensuite, la qu
52
unir ou de faire payer, rien n’est trop compliqué
pour
le législateur ! S’il n’apportait qu’une trace de ce génie méfiant da
53
. Est-il nécessaire d’ajouter qu’il en va de même
pour
nos droits politiques et civiques ? On ne peut sauver la liberté, dan
54
onc en pleine actualité. Tout le monde se déclare
pour
le Monde et parle au nom des masses mondiales. Qui dira plus ? Ici, n
55
ur cet élan des masses rassemblées au Vél’ d’Hiv’
pour
le gouvernement mondial, sur ce grand élan pour la paix, nous avons i
56
’ pour le gouvernement mondial, sur ce grand élan
pour
la paix, nous avons ici nos idées. Cette idée en particulier : c’est
57
en avant en embrassant la cause européenne. Voici
pour
quelles raisons, les plus simples du monde, mais d’une logique à laqu
58
ont aucune, isolée, n’a plus la taille qu’il faut
pour
parler et se faire entendre, dans le monde dominé par les deux grands
59
la dernière, parce qu’elle laissera peu de monde
pour
en faire une nouvelle… Mais aussi tout cela nous conduit, avec la for
60
ui serait capable d’exiger la paix, de l’inventer
pour
les deux autres. Et si l’on me dit que l’Europe, même unie, serait en
61
ue l’Europe, même unie, serait encore trop petite
pour
tenir en respect les deux Grands, je rappellerai un seul chiffre, qu’
62
charité générale… C’est avec tous ces hommes — et
pour
eux tous, même malgré eux — qu’il nous faire l’Europe. Mais alors des
63
et la peur immense de la guerre, et nous voulons
pour
eux et avec eux faire la paix. Voilà la seule question sérieuse, la s
64
iculté que nous voulons bien que l’on « soulève »
pour
la vaincre. ⁂ J’en reviens à la méthode et aux moyens d’action. Aux i
65
ète, c’est dans l’action seulement, dans l’action
pour
les dépasser, que l’on connaît vraiment ces différences, et qu’on peu
66
ne manière décisive. Quand elles y parviendraient
pour
un temps par la force, il resterait dix autres couples d’adversaires
67
ays, doit se réunir dans quelques mois. Elle aura
pour
mission de proposer la création d’une Cour suprême et la Constitution
68
air de provoquer l’un des deux grands, sans créer
pour
autant la force nécessaire pour décourager l’agression… C’est donc, p
69
rands, sans créer pour autant la force nécessaire
pour
décourager l’agression… C’est donc, pour nous, le moment d’être forts
70
cessaire pour décourager l’agression… C’est donc,
pour
nous, le moment d’être forts dans les conseils européens — de rallier
71
er un grand élan à notre propagande populaire, ou
pour
mieux dire : à l’information de la masse. Car on aurait bien tort de
72
une phrase que je voudrais bien ne plus entendre,
pour
l’avoir lue dans une centaine de comptes rendus de nos réunions et de
73
ient que Staline lui-même s’est allié à Churchill
pour
battre Hitler. C’est un fait qu’on n’aime pas rappeler dans leurs mil
74
e sont des gestes ; sortez avec un ours en laisse
pour
ameuter le peuple sur les places. Faites des gestes ! Déchirez votre
75
isent-ils, ce sont des apôtres ! En avez-vous ? »
Pour
ceux-là, nous avons du travail. Je leur dis : s’il vous faut des apôt
76
n trouver. Une bataille est en train de se livrer
pour
l’Europe. Nous l’avons provoquée, nous les fédéralistes, en invitant
77
enfin de l’espérance. f. Rougemont Denis de, «
Pour
sauver la paix : commencer par l’Europe », Fédération, Paris, février
78
d’une culture désormais universelle sont menacés.
Pour
le bien comme pour le mal, ce qui est sorti de l’Europe est sorti de
79
mais universelle sont menacés. Pour le bien comme
pour
le mal, ce qui est sorti de l’Europe est sorti de l’esprit. Or, il se
80
culturelle du Mouvement européen s’est constituée
pour
y collaborer. Elle a commencé par fonder, avant le Centre européen d
81
s ou sociales, qui seront prises par nos comités,
pour
être exécutées demain par un pouvoir fédéral de l’Europe. En outre, l
82
s présentes, nous voulons concerter nos vocations
pour
la défense et pour l’épanouissement d’un certain nombre de valeurs hu
83
oulons concerter nos vocations pour la défense et
pour
l’épanouissement d’un certain nombre de valeurs humaines qui, sans l’
84
puissance capable d’exiger la paix, de l’inventer
pour
les deux autres. Imaginez cette Europe grande ouverte où les nations
85
temps. En effet, je dirige ici le bureau d’études
pour
un Centre européen de la culture. Pouvez-vous, très succinctement, no
86
ce des contrôles gouvernementaux, cet organisme a
pour
tâche immédiate d’étudier et de proposer toute mesure propre à promou
87
et de recommandations, de coordonner les efforts
pour
créer une union des universités et des membres des corps enseignants
88
ignants ; et enfin d’exercer un contrôle vigilant
pour
restaurer le propre usage des mots-clés sans lesquels aucun pacte n’e
89
ne figure qu’un cap déchiqueté de l’Asie, quatre
pour
cent de la superficie de la planète. Toute sa grandeur venait de sa c
90
nète. Toute sa grandeur venait de sa culture, qui
pour
le bien comme pour le mal, avait créé ses richesses et sa science, se
91
deur venait de sa culture, qui pour le bien comme
pour
le mal, avait créé ses richesses et sa science, ses machines, ses cit
92
resse de la planète, elle en est réduite à lutter
pour
assurer sa survivance économique, et son indépendance politique et ci
93
ui l’inspire et le guide. Il ne s’agit nullement,
pour
nous, de mettre la culture en statistiques, ou de traiter théoriqueme
94
étant « nécessaire à l’Europe », rend difficile,
pour
le moment, notre pleine participation aux conseils politiques du cont
95
. Comment pourra-t-il donc participer aux efforts
pour
sauver l’Europe ? La réponse ne peut faire de doute. Tant à Berne qu’
96
siège d’une telle institution. Gardiens des cols
pour
le Saint-Empire au xiiie siècle ; gardiens du Vatican et de la Genèv
97
ypique, on le voit, d’une situation pré-fédérale,
pour
peu qu’une volonté d’union se déclare, au sein de la crise assumée. C
98
d’une première vue générale des efforts déployés
pour
l’union de l’Europe, mais encore celle d’une contribution à cette pri
99
ue ce sont les fédéralistes qui ont mené la lutte
pour
le Pacte et pour une Autorité politique supranationale. S’ils sont pa
100
déralistes qui ont mené la lutte pour le Pacte et
pour
une Autorité politique supranationale. S’ils sont parfois considérés
101
s refusent sa condition. Nous avons d’autres noms
pour
ces deux attitudes. M. Philip a des pages excellentes sur le « compro
102
tique à la fois. Mais il n’est pas moins vrai que
pour
la première fois, dans toute sa longue histoire, — consciemment, — l’
103
flatteuses, qui ne leur laissent plus une seconde
pour
distinguer l’approche des catastrophes. On demande à certains « grand
104
D’autres invoquent un besoin subit de se retirer
pour
méditer. Regrettons-le, pour eux surtout. S’ils sont un jour jetés, c
105
subit de se retirer pour méditer. Regrettons-le,
pour
eux surtout. S’ils sont un jour jetés, ce qu’à Dieu ne plaise, dans c
106
lant tous ensemble, et toutes affaires cessantes.
Pour
être juste, il faut reconnaître que beaucoup d’intellectuels redouten
107
urront les défendre. ⁂ Le rapport général, établi
pour
l’information des délégués, n’a d’autre ambition que de signaler et d
108
ouane ou de visas, dont le bénéfice est dérisoire
pour
les États, dont la charge est ruineuse pour la culture. Et surtout ne
109
soire pour les États, dont la charge est ruineuse
pour
la culture. Et surtout ne proposons pas, dans ce domaine, de nouveaux
110
r les passeports : « Le passeport n’est exigé que
pour
la Russie. Pour l’entrée dans tous les autres pays, la carte de visit
111
: « Le passeport n’est exigé que pour la Russie.
Pour
l’entrée dans tous les autres pays, la carte de visite suffit » ! Mai
112
e constater qu’il n’en existe pas un seul qui ait
pour
objet l’Europe comme unité. Les uns veulent embrasser le monde entier
113
u sort qu’il faut leur réserver. Il en va de même
pour
le Collège d’Europe, à Bruges, collège qui permettrait de former les
114
ciales ; et ce projet surtout d’un Fonds européen
pour
les recherches scientifiques, dont l’importance capitale ne saurait é
115
ment européen constituera la meilleure propagande
pour
notre union, et peut-être la seule acceptable. Toutes ces activités e
116
ettraient de développer la recherche scientifique
pour
la paix et la vie, c’est la folie de l’Occident moderne. À tel point
117
areille folie, le cri des hommes. Et maintenant,
pour
quelles fins réelles voulons-nous ces moyens de culture, et cette édu
118
e de valeurs universelles. Il ne s’agit donc pas,
pour
nous, d’opposer une nation européenne aux grandes nations de l’Est et
119
r une « culture européenne » synthétique, valable
pour
nous seuls et fermée sur elle-même : ce serait trahir le génie de l’E
120
stalgique. Et nous ici, nous ne sommes pas réunis
pour
tracer des plans d’innocence et de prospérité organisée. Nous tentero
121
e original. q. Les sous-titres ont été rajoutés
pour
les besoins de cette édition numérique.
122
istes « n’ont jamais été amoureux ». Heureusement
pour
l’Europe, et pour les fédéralistes, il n’y a pas un mot de vrai dans
123
is été amoureux ». Heureusement pour l’Europe, et
pour
les fédéralistes, il n’y a pas un mot de vrai dans tout cela. Vous ju
124
enne, mais je ne sache pas qu’il ait jamais passé
pour
un « doctrinaire », et je voudrais bien qu’il se déclare « fédéralist
125
êtes ». Nous demandons surtout des sacrifices. 6°
Pour
découvrir ce qu’il y a « de faux ou d’imbécile » dans le projet des f
126
d’adresse. De quoi ce lapsus est-il révélateur ?
Pour
quelle raison attaquez-vous des gens que vous n’avez pas pris le soin
127
er, tout de même, de l’à-peu-près journalistique.
Pour
en finir, je vous envoie ma petite brochure sur L’Attitude fédéralis
128
nonnes. Elles ont besoin de vous aussi, non point
pour
les louer contre nous, mais pour les défendre avec nous. P.-S. — « Eu
129
aussi, non point pour les louer contre nous, mais
pour
les défendre avec nous. P.-S. — « Europe vole » ? Un gage. r. Roug
130
qu’un cap de l’Asie — et l’Asie n’a jamais passé
pour
la terre de la liberté. Ces deux réalités : l’Europe, la culture, nai
131
entier peut être appelé une création européenne.
Pour
le bien comme pour le mal, il imite à la fois nos mœurs et nos objets
132
ppelé une création européenne. Pour le bien comme
pour
le mal, il imite à la fois nos mœurs et nos objets, nos procédés d’ar
133
Hindous, les Chinois, les Noirs, copient l’Europe
pour
toutes ces choses, mais nous, nous copions tout au plus quelques cita
134
il n’y a en commun qu’un mot : le mot démocratie…
Pour
eux cela signifie dictature. Pour nous liberté politique. s. Rouge
135
mot démocratie… Pour eux cela signifie dictature.
Pour
nous liberté politique. s. Rougemont Denis de, « Il est impossible
136
à Beaune. Nous tenons à remercier M. de Rougemont
pour
son autorisation de publier ces lignes qui suscitèrent, nous en somme
137
mière page d’Anabase lorsqu’elle parut, constitua
pour
nous le fait du prince, toute référence superflue, et depuis lors, no
138
les grands rapides « avec leur provision de glace
pour
cinq jours », la « mouette mauve du Mormon », ou cette « civilisation
139
diction faite au poète ! … Mais si un homme tient
pour
agréable sa tristesse, qu’on le produise dans le jour ! et mon avis e
140
l’avenir et naissance du chant. Un chant de force
pour
les hommes… Choses vivantes, ô choses — excellentes ! Rien ne s’accor
141
iscernablement chez Rilke, s’évanouit chez Valéry
pour
faire place à l’intellectuel, c’est dans l’élément animique que les p