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dans un tout. 3. Le fédéralisme ne connaît pas de
problème
des minorités. On objectera que le totalitarisme, lui aussi, supprim
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tera que le totalitarisme, lui aussi, supprime ce
problème
: mais c’est en supprimant les minorités qui le posaient. Il y a tot
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n mesure de clarifier maintenant quelques-uns des
problèmes
brûlants que nous pose la fédération. Tout d’abord, celui des nations
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ce. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les
problèmes
que lui pose l’économie moderne. Les conclusions que l’on doit tirer
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c pas une idéologie qui fera l’Europe, puisque le
problème
est justement de la faire sans commencer par la dénaturer. Mais à déf
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olitique générale, d’économie ou d’esthétique, le
problème
restera toujours d’éviter à la fois l’isolation stérile et l’uniformi
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, l’on se tromperait gravement en estimant que le
problème
posé par quelques adventistes disséminés est moins actuel ou moins ur
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t moins actuel ou moins urgent, peut-être, que le
problème
posé par les méthodes totalitaires. Les pays dont le régime se fonde
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propre à illustrer d’une manière bien précise le
problème
général de la liberté religieuse à l’école. Parce qu’il n’est pas spe
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e ; aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les
problèmes
que lui pose l’économie moderne. ⁂ Les conclusions que l’on doit tire
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c pas une idéologie qui fera l’Europe, puisque le
problème
est justement de la faire sans commencer par la dénaturer. Mais à dé
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olitique générale, d’économie ou d’esthétique, le
problème
restera toujours d’éviter à la fois l’isolation stérile et l’uniformi
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vre très importante qui a nom : l’Europe dont les
problèmes
culturels, en particulier, accaparent tout mon temps. En effet, je di
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en statistiques, ou de traiter théoriquement les
problèmes
éternels de la liberté, de la justice, ou du progrès. Mais nous voulo
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Préface à Le
Problème
de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)u Il peut sembler étr
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e, Philip Olivier, « [Préface] Olivier Philip, Le
Problème
de l’union européenne », dans Le Problème de l’union européenne, Neu
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ip, Le Problème de l’union européenne », dans Le
Problème
de l’union européenne, Neuchâtel, Éditions de la Baconnière, 1950, p.
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elle rencontre partout aujourd’hui — et voilà nos
problèmes
pratiques. Et il n’est pas indifférent — (ou c’est un mauvais écrivai
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vir, l’écouter ou le censurer, — et voilà tout le
problème
des valeurs à sauver, et des institutions qui pourront les défendre.
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’autre ambition que de signaler et de classer les
problèmes
qui se sont révélés urgents, au terme d’une enquête dans nos divers p
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en a reçu d’abord un questionnaire sur l’état des
problèmes
concrets de la culture dans son pays. Dix-sept groupes ont donné des
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deux commissions suffiraient : l’une consacrée au
problème
des échanges, l’autre aux institutions à développer ou à créer, les p
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tre aux institutions à développer ou à créer, les
problèmes
non techniques restant, bien entendu, réservés aux débuts de l’ensemb
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e peut-on surmonter ces obstacles ? C’est tout le
problème
qu’il faudra résoudre. Reste à savoir dans quel esprit. À cet égard,
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tionnaires chargés (bien malgré eux, souvent) des
problèmes
réputés « secondaires » de la culture. Ils tentent de s’en tirer en c