1 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
1 epter. J’admets aussi que l’évocation des fées ne sert à rien et ne mène à rien… pour le moment. Mais veuillez supposer main
2 ite, et donc commencent à se demander à quoi cela sert . Supposez que leur plaisir nouveau et principal soit d’évoquer quelqu
3 e l’économie, la psychologie, la sociologie, nous servent en fait d’alibis. Nous sommes tentés de justifier en leur nom des att
2 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
4 glements aussi sévères, pour peu qu’on veuille se servir de ceux-ci contre celle-là. Je viens d’examiner une vingtaine de doss
5 ret tue l’esprit de tolérance là où il existe, ou serve de prétexte facile à l’esprit d’intolérance. En Suisse, la situation
3 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
6 u annexer par les staliniens. Ils ont appris à se servir mieux que nous de ces armes inventées par nous, et qu’ils ont arraché
4 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
7 diens enfin d’une expérience fédéraliste qui peut servir d’exemple au continent, les Suisses seront fidèles à leur vraie vocat
5 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
8 a conférence. Il en introduit les sujets. Il veut servir d’exposé des motifs à la série de résolutions pratiques qui seront pr
9 s-le, est devenu bien déplaisant, à force d’avoir servi d’échappatoire facile aux fonctionnaires chargés (bien malgré eux, so
10 al (NDLR). 8. Dans son remarquable rapport qui a servi de base aux travaux de la Commission de l’enseignement et de l’éducat
6 1950, Articles divers (1948-1950). Un gage à Jean Paulhan ! (avril 1950)
11 e l’on puisse attendre de cet organisme est qu’il serve provisoirement, à sa place, et malgré ses très graves imperfections,
7 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
12 ’on ne sauve pas en même temps sa patrie. Rien ne sert de faire durer, de conserver la créature — l’Europe — si l’on tarit l
13 sources de sa recréation perpétuelle. Et rien ne sert non plus d’entretenir le désir créateur, si on le prive des possibili
14 it sa grandeur à partir d’un médiocre destin. Que servirait à l’Europe de recevoir une unité, si ce n’était pas celle de son choi