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n décor, parce qu’il aura gardé son idée pour lui
seul
et l’aura épuisée en soi ; ou bien au contraire cette idée que notre
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excellence. Et c’est pourquoi je vois en elle le
seul
avenir possible de l’Europe, et le don que nous pouvons lui faire en
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cteur, mais quoi, la science reste la science, la
seule
méthode honnête, rigoureuse, éprouvée, d’analyse ou de construction.
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reuse, éprouvée, d’analyse ou de construction. La
seule
utile, la seule qui réussisse et qui progresse. Vous semblez croire q
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d’analyse ou de construction. La seule utile, la
seule
qui réussisse et qui progresse. Vous semblez croire que nous sommes l
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qui perd son sel à être répétée, étouffent d’une
seule
pensée les explosions cosmiques, etc. Libre à vous de prendre pour bu
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rispe en tyrannies, qui sont des désordres fixés.
Seul
l’effort de la science (dont le sous-produit est l’industrie) enregis
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is dans l’histoire du monde, il n’y a plus qu’une
seule
civilisation (l’occidentale, enrichie d’apports orientaux tardifs) ;
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tale, enrichie d’apports orientaux tardifs) ; une
seule
nation souveraine, de type fédéraliste ; et la question sociale, au l
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oserons les bases de la fédération, qui est notre
seul
espoir de la sauver. Primauté de la culture en Europe S’il est v
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s. C’est pourquoi l’union fédérale est devenue la
seule
garantie des autonomies nationales. Ce n’est qu’en surmontant nos div
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se et utopique que ne serait l’impérialisme d’une
seule
nation. Il est bien clair que ni la droite, ni la gauche, ni le centr
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on. Aucun de ces partis n’est donc capable, à lui
seul
, de sauver l’Europe, ni par suite son propre avenir. De même que les
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aix sur ce ton-là, cela finira par des coups. Une
seule
puissance pourrait les séparer, les retenir, et les forcer au comprom
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peut nier : Aucun de nos pays ne peut prétendre,
seul
, à une défense sérieuse de son indépendance. Aucun de nos pays ne peu
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indépendance. Aucun de nos pays ne peut résoudre,
seul
, les problèmes que lui pose l’économie moderne. Les conclusions que l
17
n respect les deux Grands, je vous rappellerai un
seul
chiffre, qu’on a tendance à oublier : La population de l’Europe occid
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it qu’ils menacent de porter tout leur poids d’un
seul
côté, ils seraient en mesure d’agir, de faire réfléchir l’agresseur,
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rité microscopique, c’est en réalité céder sur le
seul
point où les démocraties libérales se distinguent essentiellement et
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s je sais que toute restriction à la liberté d’un
seul
groupe menace la liberté de tous les autres — et donc aussi du mien.
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aix sur ce ton-là, cela finira par des coups. Une
seule
puissance pourrait les séparer, les retenir et les forcer au compromi
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peut nier : aucun de nos pays ne peut prétendre,
seul
, à une défense sérieuse de son indépendance ; aucun de nos pays ne pe
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ndépendance ; aucun de nos pays ne peut résoudre,
seul
, les problèmes que lui pose l’économie moderne. ⁂ Les conclusions que
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nduit, avec la force même de l’évidence, vers une
seule
et unique solution. Si nous voulons sauver chacun de nos pays, il nou
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nir en respect les deux Grands, je rappellerai un
seul
chiffre, qu’on a tendance à oublier : La population de l’Europe occid
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it qu’ils menacent de porter tout leur poids d’un
seul
côté, ils seraient en mesure d’agir, de faire réfléchir l’agresseur,
27
lons pour eux et avec eux faire la paix. Voilà la
seule
question sérieuse, la seule difficulté que nous voulons bien que l’on
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ire la paix. Voilà la seule question sérieuse, la
seule
difficulté que nous voulons bien que l’on « soulève » pour la vaincre
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inante, un parti au pouvoir et une opposition, un
seul
type de drug-store, et une morale moyenne, dont l’idée générale est j
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ronter. En Russie, c’est encore plus simple : une
seule
tête, un parti, une police, et pas d’opposition permise dans aucun or
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ile d’insister : la méthode du fédéralisme est la
seule
qui soit adaptée à nos réalités européennes. Faire du fédéralisme, c’
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ait bien tort de croire que Vichinski peut, à lui
seul
, faire tout le travail et créer l’opinion européenne. ⁂ Il est une ph
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’autre ne peut assurer l’indépendance européenne,
seul
moyen de prévenir la guerre. Tels sont les buts concrets que se sont
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ique. Fédérer nos pays, c’est, en effet, créer la
seule
puissance capable d’exiger la paix, de l’inventer pour les deux autre
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faire la guerre à personne, mais à défendre d’un
seul
cœur son indépendance reconquise. Paix, liberté, prospérité, tels ont
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l’indépendance européenne, qui est à son tour le
seul
moyen de prévenir une guerre livrée à nos dépens. Tels sont les buts
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les libéraux. Mais cette opposition n’est pas la
seule
. L’Europe est née, elle a vécu d’antagonismes. Elle mourrait de leur
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voir d’autre que dans le régime fédéraliste. Lui
seul
conserve les avantages de la féconde diversité en y ajoutant ceux de
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as d’organiser la vie, qu’on la laisse libre ! La
seule
idée d’une respiration organisée, n’est-il pas vrai, vous coupe le so
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st frappant de constater qu’il n’en existe pas un
seul
qui ait pour objet l’Europe comme unité. Les uns veulent embrasser le
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eure propagande pour notre union, et peut-être la
seule
acceptable. Toutes ces activités et ces institutions demanderont des
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bli. Il est probable que le prix de revient d’une
seule
bombe atomique dépasse largement le budget annuel des institutions qu
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utions que nous venons de proposer. Le prix d’une
seule
bombe atomique couvrirait donc le budget global d’une renaissance de
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lture européenne » synthétique, valable pour nous
seuls
et fermée sur elle-même : ce serait trahir le génie de l’Europe, nous
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e contribuer à l’union de nos pays, qui sera leur
seul
salut, par le moyen d’une renaissance de leur culture dans la liberté
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fs poèmes, quelques prières. C’est par la musique
seule
de Bach ou de Mozart que nous en possédons la substance idéale, que n
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n doute. Mais d’où sort-il ? Je ne connais pas un
seul
fédéraliste qui puisse y reconnaître sa doctrine, ni son action, ni s
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n quarante-deux articles) ». Montrez-nous donc un
seul
de ces articles qui dise, ou laisse entendre, que le Conseil de l’Eur
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États-Unis d’Europe. Bien plus, montrez-nous une
seule
déclaration qui exprime la satisfaction des fédéralistes devant ce st
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Georg Lukács et Karl Jaspers. Parmi ces neuf, un
seul
fédéraliste déclaré. Voyez donc la page 60 : « Je reproche à Benda de
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lles aucune fédération n’est possible. » C’est la
seule
page de ce gros livre où vous aviez la chance de tomber sur un point
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homme épris du monde, peuvent être vues comme une
seule
et même geste de l’âme. (Je dis l’âme, et non pas l’esprit, ni l’inte