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les inconvénients pour nous autres Suisses. Mais
si
nous passons du plan de cette microhistoire à l’histoire générale, to
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très délicate à formuler, qu’on la trouve en fait
si
rarement formulée dans notre histoire. Il est certain qu’elle a guidé
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sent nos rouages, communaux, fédéraux, cantonaux,
si
diversement engrenés, il convient de leur montrer que cette complexit
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etient. De fait, il est bien difficile de décider
si
la monotonie crée plus d’ennui que la multiplicité des impressions. L
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ce d’une civilisation spirituelle et mondiale. 2.
Si
l’Humanité choisit au contraire l’aventure spirituelle, celle-ci sera
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énie de la diversité, c’est-à-dire de la liberté.
Si
nous cherchons maintenant dans quelle notion commune de l’homme et de
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e que les nations n’ont de chance de survivre que
si
elles renoncent à temps au dogme tyrannique de leur souveraineté abso
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de ce double fait sont d’une tragique simplicité.
Si
les choses continuent comme elles vont : 1° Les différents pays de l’
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st un, l’humanité tout entière sortirait vaincue.
Si
nous voulons sauver la paix, ou plutôt faire la paix, il nous faut d’
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r la paix, de l’inventer pour les deux autres. Et
si
l’on me dit que l’Europe, même unie, serait encore trop petite pour t
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tant que la Russie et tous ses satellites réunis.
Si
ces 300 millions d’habitants faisaient bloc, soit qu’ils se déclarent
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ns leurs rapports avec certain parti totalitaire.
Si
vous voulez la paix, vous devez vouloir ses moyens : l’Europe unie es
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loir ses moyens : l’Europe unie est le plus sûr ;
si
vous voulez l’Europe, vous devez vouloir le fédéralisme, si vous voul
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ulez l’Europe, vous devez vouloir le fédéralisme,
si
vous voulez demeurer libres, enfin, c’est aujourd’hui qu’il faut en c
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bilité de circuler, etc. doit être punie, surtout
si
elle se répète à intervalles fréquents ou réguliers. La sanction est
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adventistes reçoivent dispense pour le samedi et
si
les examens ont lieu ce jour-là, on s’arrange pour que les absents pu
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nombre est infime. Ensuite, la question de savoir
si
les adventistes ont tort ou raison de préférer le samedi au dimanche
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rter sur l’une ou l’autre de ces convictions, car
si
les deux points de vue n’étaient pas dissociés, l’on aboutirait fatal
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, utiles ou non, qui s’accumulent dans nos codes.
Si
l’anarchie est mauvaise, c’est parce qu’elle implique le désordre. Ma
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inet. À cet égard, on s’étonnera que les Suisses,
si
attentifs à respecter dans leur régime fédéraliste les droits des lan
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s trois ans, mais elle y serait sans doute restée
si
quelques écrivains n’avaient volé au secours du « premier citoyen du
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ide a commencé. La situation s’est donc précisée,
si
je puis dire… Deux colosses, ou qui nous semblent tels, sont en train
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de ce double fait sont d’une tragique simplicité.
Si
les choses continuent comme elles vont : 1° Les différents pays de l’
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de l’évidence, vers une seule et unique solution.
Si
nous voulons sauver chacun de nos pays, il nous faut unir ces pays. S
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r chacun de nos pays, il nous faut unir ces pays.
Si
nous voulons sauver la paix, ou plutôt faire la paix, il nous faut d’
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r la paix, de l’inventer pour les deux autres. Et
si
l’on me dit que l’Europe, même unie, serait encore trop petite pour t
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tant que la Russie et tous ses satellites réunis.
Si
ces 300 millions d’habitants faisaient bloc, soit qu’ils se déclarent
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même sort, le sort de l’Europe, c’est-à-dire que
si
l’on ne fait rien, ils seront tous les uns après les autres annexés,
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ition légale contre l’État. Parler de démocratie,
si
l’on n’a pas ce droit, c’est bavarder, ou c’est parler de dictature :
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-vous tuer, nous suivrons de loin vos efforts, et
si
vous gagnez par miracle, bien entendu, nous vous rejoindrons, nous en
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ravail. Je leur dis : s’il vous faut des apôtres,
si
vous y tenez vraiment tant que ça, pourquoi ne seriez-vous pas le pre
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t sa chance, et avec elle les chances de la paix.
Si
nous voulons la paix, nous devons vouloir ses moyens : l’Europe unie
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loir ses moyens : l’Europe unie est le plus sûr ;
si
nous voulons l’Europe, nous devons vouloir le fédéralisme ; si nous v
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ns l’Europe, nous devons vouloir le fédéralisme ;
si
nous voulons demeurer libres, c’est aujourd’hui qu’il faut en courir
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s par nous, et qu’ils ont arrachées de nos mains.
Si
les Européens, dans leur majorité, refusent à la fois de se laisser a
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ropéen promeut, resteront sans force et sans vie,
si
elles ne sont pas soutenues par un élan profond, par un espoir nouvea
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uropéen promeut, resteront sans force et sans vie
si
elles ne sont pas soutenues par un élan profond, par un espoir nouvea
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aînesse contre vos belles autos et vos dollars. »
Si
nous refusons, c’est que nous avons encore le sentiment d’une qualité
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appelle, par erreur, doctrinaire). Mais il tend,
si
l’on n’y prend garde, à évacuer la politique, au sens légitime de ce
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t être prudents quand on s’engage dans une action
si
vaste. C’est aller trop vite en besogne : car vous ne vous êtes, jusq
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sache. Quand vous y serez, il sera temps de voir
si
la prudence, ou au contraire un peu de hâte, conviennent à nos calami
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se que ce fameux « Cap de l’Asie » toujours cité.
Si
nous faisons du bon travail ici, personne ne perdra plus son temps à
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rvons tout d’abord qu’il n’en serait pas question
si
les frontières étaient ouvertes, et l’union fédérale de l’Europe réal
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ui en un mot, ont l’âme naturellement officielle.
Si
l’on veut que les échanges redeviennent ce qu’ils ont toujours été da
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bénéfices diminués. Nous invoquerons le fait que,
si
le sentiment d’un destin spirituel commun, et l’énergie créatrice des
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enne de la culture faillirait à sa vraie mission,
si
elle n’élevait pas, contre une pareille folie, le cri des hommes. Et
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perde ses droits à l’existence et à l’autonomie.
Si
nous exerçons, à Lausanne, cette action de vigilance publique, on pou
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; que j’ai « annoncé la fin du désespoir » ; que
si
l’on veut savoir ce que pensent les fédéralistes, c’est Guéhenno, c’e
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ue M. Benda. Mais quoi, cette lettre est inutile,
si
l’on a décidé d’appeler « fédéralistes » tous ceux, qui, un jour ou l
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éaliste tout écrit qu’ils estiment un peu obscur.
Si
mon projet vous paraît encore « faux et imbécile », quand vous aurez
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1950)s t Il est impossible de sauver l’Europe
si
l’on ne sauve pas en même temps sa culture ; ou de sauver la culture
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sa culture ; ou de sauver la culture occidentale
si
l’on ne sauve pas en même temps sa patrie. Rien ne sert de faire dure
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aire durer, de conserver la créature — l’Europe —
si
l’on tarit les sources de sa recréation perpétuelle. Et rien ne sert
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ne sert non plus d’entretenir le désir créateur,
si
on le prive des possibilités de s’accomplir dans une libre communauté
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bilités de s’accomplir dans une libre communauté.
Si
l’Europe est réduite à l’impuissance politique, si elle est colonisée
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i l’Europe est réduite à l’impuissance politique,
si
elle est colonisée par l’Amérique, ce qu’elle désire parfois, ou enva
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qu’elle désire parfois, ou envahie par la Russie,
si
l’Europe disparaît du jeu des forces mondiales, personne ne pourra re
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. Que servirait à l’Europe de recevoir une unité,
si
ce n’était pas celle de son choix ? et si cette unité signifiait sa d
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unité, si ce n’était pas celle de son choix ? et
si
cette unité signifiait sa défaite, non point sa conquête sur elle-mêm
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s États-Unis dans l’espace et le temps à la fois,
si
le sujet n’était plutôt le principe animique, ou lyrique, que l’avent
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’y plaisant… Interdiction faite au poète ! … Mais
si
un homme tient pour agréable sa tristesse, qu’on le produise dans le
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ermettrait de situer les grands poèmes du siècle.
Si
l’élément sentimental domine chez Apollinaire, interfère avec le spir
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es chants heureux sont les plus beaux ? J’en vois
si
peu. Dante, John Donne, parfois Claudel, quelques Arabes et Chinois p