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t la chance de la Suisse dans l’histoire, pour ce
siècle
ou pour ceux qui le suivront. La chance d’une graine. Transposons mai
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ent à ceci : ou bien notre État fédéral, après un
siècle
et demi ou deux, disparaîtra tout comme une autre République séréniss
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ales décisions de notre vie politique pendant des
siècles
, et qu’elle a finalement pris forme et force de loi vers 1848 ; mais
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es fées, et qu’ils y arrivent après deux ou trois
siècles
d’application des bons esprits. Voilà le sérieux nouveau, l’utilité u
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iniste et mécaniste que lui donnait la science du
siècle
passé) favorise l’abdication des responsabilités personnelles. Les «
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ie, un idéal de liberté, que symbolise depuis des
siècles
le nom d’Europe. En les perdant, nous serions assurés de perdre du mê
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qui pousse l’Européen à remettre en question, de
siècle
en siècle, ses rapports avec Dieu, avec le monde, avec l’État et la c
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e l’Européen à remettre en question, de siècle en
siècle
, ses rapports avec Dieu, avec le monde, avec l’État et la communauté.
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ent géographique du continent, a fait pendant des
siècles
l’originalité de l’Europe et la fécondité de sa culture. Mais par sui
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te inquiétude créatrice qui pousse l’Européen, de
siècle
en siècle, à remettre en question ses rapports avec Dieu, avec le mon
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ude créatrice qui pousse l’Européen, de siècle en
siècle
, à remettre en question ses rapports avec Dieu, avec le monde, avec l
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onfirmeraient les principes qui, depuis plus d’un
siècle
, sont la base même de leur indépendance nationale, de leur prospérité
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te inquiétude créatrice qui pousse l’Européen, de
siècle
en siècle, à remettre en question ses rapports avec Dieu, avec le mon
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ude créatrice qui pousse l’Européen, de siècle en
siècle
, à remettre en question ses rapports avec Dieu, avec le monde, avec l
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es confédérations qui ont vu le jour au cours des
siècles
, et vous savez comment la Suisse a su atteindre ces trois buts, en se
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aire l’Europe », quand elle existe depuis tant de
siècles
. Mais l’expression se justifie sitôt que l’on songe à la brusque tran
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Vents sont parmi les rares œuvres toniques de ce
siècle
: chants de violence heureuse, refus du désespoir (qui nourrit la plu
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e, qui permettrait de situer les grands poèmes du
siècle
. Si l’élément sentimental domine chez Apollinaire, interfère avec le
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mes de toute race et de toute façon, de « pans de
siècles
en voyage » et de peuples lus « par nations » ; d’une âme sans nom —