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e de notre idée fédéraliste en soi. Elle est très
simple
, comme toutes les grandes idées, mais non pas simple à définir en que
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ple, comme toutes les grandes idées, mais non pas
simple
à définir en quelques mots, en une formule ; car elle est d’un type o
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e parce que l’idée fédéraliste est à la fois très
simple
à sentir et très délicate à formuler, qu’on la trouve en fait si rare
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ndiquent d’une manière négative cette même vérité
simple
que notre réussite confirme : à savoir qu’on ne peut atteindre la fin
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stinctif de recourir aux solutions systématiques,
simples
de lignes, claires et satisfaisantes pour la logique, mais par là mêm
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re. L’amour (plus encore que le respect ou que la
simple
tolérance) des complexités culturelles, psychologiques, et même écono
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n. La culture véritable n’est pas un ornement, un
simple
luxe de l’esprit, ou un ensemble de spécialités qui ne concernent pas
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’idée européenne de l’homme. Cette idée n’est pas
simple
, mais toujours dialectique ; elle n’est pas achevée, mais ouverte ; e
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re et de la tyrannie… Le schéma de ce progrès est
simple
. Pour peu que l’individu, abusant de ses droits et de sa liberté, dev
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action immédiate. Ici, les choses cessent d’être
simples
, parce que l’Europe est la réalité la plus complexe de la terre, et q
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l’uniforme. Telle est la dialectique fédéraliste,
simple
dans son principe comme le bon sens lui-même, mais en fait constammen
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ui où cela peut conduire. Danger des lois trop
simples
Il est clair qu’une législation non pas plus « souple », mais plus
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européenne. Voici pour quelles raisons, les plus
simples
du monde, mais d’une logique à laquelle, pour ma part, je n’imagine a
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ité tout entière sortirait vaincue. Tout cela est
simple
comme 2 et 2 font 4 : tout cela va vers une guerre qui risque bien d’
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action immédiate. Ici, les choses cessent d’être
simples
, parce que l’Europe est la réalité la plus complexe de la terre, et q
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unité voyez-vous dans tout cela ? Eh bien, c’est
simple
: tous ces gens partagent le même sort, le sort de l’Europe, c’est-à-
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nisés, atomisés, etc. Et puis — c’est encore plus
simple
— tous ces gens ont en commun le dégoût et la peur immense de la guer
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rer leur vraie valeur. En Amérique, tout est plus
simple
, évidemment : vous avez une langue, une nation, une doctrine dominant
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as de les affronter. En Russie, c’est encore plus
simple
: une seule tête, un parti, une police, et pas d’opposition permise d
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l’uniforme. Telle est la dialectique fédéraliste,
simple
dans son principe comme le bon sens lui-même, — mais en fait constamm
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es, les minorités opprimées, et plus encore : les
simples
citoyens. Ainsi sera sauvegardé le droit qui garantit les libertés eu
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vre. Elles convergent avec rigueur vers une thèse
simple
: c’est que l’union économique du continent exige son union politique
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la sensibilité, de passions mêmes, et non pas de
simples
déplacements de forts en thème — nous devons : 1° abandonner, et au b
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des échanges », 2° exiger la suppression pure et
simple
, immédiate, des obstacles à la libre circulation des personnes, des œ
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l’Amérique et la Russie. Deux constatations très
simples
me suffiront. Entre l’Amérique et nous, qu’y a-t-il de commun ? Il y