1 nt universel. De ces communautés persécutées peut sortir une spiritualité nouvelle, mère d’une civilisation imprévisible. 2. N

2 ainqueur, s’il en est un, l’humanité tout entière sortirait vaincue. Si nous voulons sauver la paix, ou plutôt faire la paix, il

3 ainqueur, s’il en est un, l’humanité tout entière sortirait vaincue. Tout cela est simple comme 2 et 2 font 4 : tout cela va vers

4 n, c’est simple : tous ces gens partagent le même sort , le sort de l’Europe, c’est-à-dire que si l’on ne fait rien, ils sero

5 simple : tous ces gens partagent le même sort, le sort de l’Europe, c’est-à-dire que si l’on ne fait rien, ils seront tous l

6 pays, dans l’autre guerre, qui, voyant l’officier sortir de la tranchée et s’élancer le premier à l’attaque, criaient bravo !

7 scours ! Ce qu’il nous faut, ce sont des gestes ; sortez avec un ours en laisse pour ameuter le peuple sur les places. Faites

8 nacés. Pour le bien comme pour le mal, ce qui est sorti de l’Europe est sorti de l’esprit. Or, il se trouve que d’autres cont

9 mme pour le mal, ce qui est sorti de l’Europe est sorti de l’esprit. Or, il se trouve que d’autres continents nous ont ravi l

10 ution à cette prise de conscience active de notre sort , sans laquelle les traités resteront du papier. Je voudrais formuler

11 Certes, mais l’écrivain n’est pas indifférent au sort des livres qu’il publie, ni à leur diffusion, ni aux entraves qu’elle

12 nnu, les plans sont là. La Conférence décidera du sort qu’il faut leur réserver. Il en va de même pour le Collège d’Europe,

13 ous critiquez est tel sans aucun doute. Mais d’où sort -il ? Je ne connais pas un seul fédéraliste qui puisse y reconnaître s