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logie, nous servent en fait d’alibis. Nous sommes
tentés
de justifier en leur nom des attitudes qu’en d’autres temps l’on eût
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édents dont mille sectes à l’avenir pourront être
tentées
d’abuser. Le premier argument n’est pas sérieux. Les lois pénales déc
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er qu’une telle enquête n’avait jamais encore été
tentée
. Nous avons dû l’improviser avec des groupes en pleine période de for
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, et des documents précités, le rapport général a
tenté
d’opérer une synthèse provisoire, en guise d’introduction aux travaux
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blèmes réputés « secondaires » de la culture. Ils
tentent
de s’en tirer en consentant à la culture ce petit va-et-vient d’échan
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lans d’innocence et de prospérité organisée. Nous
tenterons
, sobrement, de trouver les moyens qui permettent le libre exercice de