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est aussi ces paysans ahuris par la politique qui
vient
des villes, ceux qu’ont décrit nos amis italiens Silone et Carlo Levi
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veuille se servir de ceux-ci contre celle-là. Je
viens
d’examiner une vingtaine de dossiers relatifs à des familles adventis
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Il paraît que l’idée d’un gouvernement mondial
vient
enfin d’atteindre Paris ; il était temps ! C’est une idée qui était d
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est aussi ces paysans ahuris par la politique qui
vient
des villes, ceux qu’ont décrit nos amis italiens Silone et Carlo Levi
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qu’il nous faire l’Europe. Mais alors des malins
viennent
nous dire : tous ces gens, qu’ont-ils de commun entre eux ? Quelle un
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emples entre vingt : le Bureau d’études de Genève
vient
d’organiser une rencontre entre les responsables d’une dizaine d’inst
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dérant, il y a cent ans. À l’instant même où nous
venons
vous surprendre dans cette annexe toute neuve du Palais Wilson, qu’êt
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nous empêche de dire aux Russes : « Finissons-en,
venez
nous mettre au pas, et supprimons cet épuisant conflit en adoptant l’
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ples à s’unir, afin qu’ensuite une Europe fédérée
vienne
en aide à chacune de nos cultures : telle sera la double ambition de
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enir : et c’est la peur d’une guerre que d’autres
viendraient
faire sur notre sol, et sur le corps de nos enfants ; c’est l’angoiss
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ur sa récolte. Deux mots sur ceux qui ne sont pas
venus
ici. Quand Dieu veut perdre une société, il ne commence pas toujours
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trophes. On demande à certains « grands noms » de
venir
participer au sauvetage de l’Europe. Ils nous répondent qu’ils ont un