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el un état de conscience est exprimé par un terme
érotique
»19 — ou l’inverse aussi bien. À tel point « qu’on ne peut jamais pré
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e l’anéantissement du moi ». Et cette « béatitude
érotique
», obtenue par l’arrêt, non du plaisir, mais de son effet physique, e
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que du tantrisme tardif, le Sahajiyâ, amplifie l’
érotique
rituelle jusqu’à des proportions étonnantes… On y accorde une grande
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raint pas de donner des précisions sur les gestes
érotiques
que l’on peut se permettre avec cette Dame. Et Guiraut de Calenson :