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eux, sourdement irrités qu’ils sont de se sentir
étrangers
dans leur peuple. S’expatrier devient une mise au point, une traducti
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cherche d’une action commune, action conduite à l’
étranger
, et dont les fins dernières leur importaient bien moins que l’expérie
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et bien qu’ayant tous deux vécu leur aventure à l’
étranger
, parfaits représentants de leur nation, dans ce qu’elle a justement d
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ousins un peu partout, je ne me suis jamais senti
étranger
dans aucun de nos pays. Tel est, si vous le voulez, l’aspect « cosmop
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au passage que la guerre, qu’elle soit civile ou
étrangère
, froide ou déclarée, justifie toujours le sacrifice « temporaire » de
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ne s’en aperçoit que si c’est dit dans une langue
étrangère
, ou par un lointain Mossadegh, ruinant son peuple au nom de l’indépen
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olâtre et antichrétien. L’idée même de nation est
étrangère
au dogme et à la foi chrétienne. Le Christ est mort pour le salut des
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ar la libre invention, soit unifiée par une force
étrangère
. Je ne vois pas un seul peuple européen qui ait autant besoin que le
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nt alors cette espèce de malaise qu’éprouvent les
étrangers
sensibles lorsqu’ils prennent place dans nos trains locaux ? L’expéri
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, d’assurer sa prospérité sans plus dépendre de l’
étranger
, de se défendre plus de quelques heures contre les Russes ou les Amér