1 ni ses principes animateurs, suggéré sa structure fédérale . Dans tous ses livres de voyages, d’analyse morale ou d’histoire — ma

2 ible d’organisations au niveau européen, comme le Conseil des communes d’Europe, par exemple ; le Centre européen de la culture

3 ’adoption par les États-Unis de leur constitution fédérale que « L’idée que l’Amérique pourrait devenir, soit sous la forme répu

4 . Quant à ceux qui s’en vont répétant qu’un noyau fédéral fait obstacle à une fédération plus étendue, ils ont contre eux les l

5 e militaire contre la Suisse, — soit une autorité fédérale de l’Europe à laquelle nous puissions adhérer. L’une ou l’autre de ce

6 lu davantage pour que le Conseil fédéral, puis le Conseil d’État de Genève, aient froidement refusé, l’un après l’autre, d’aide

7 es mouvements qui ont obtenu la création du noyau fédéral des six pays du pool charbon-acier. Concernant la défense de l’Europe

8 éralistes suisses estiment que notre constitution fédérale peut et doit servir de modèle pour une Europe fédérée, dans le respec

9 e raison de nous fédérer, c’est que seule l’union fédérale peut les sauver et les garantir dans notre siècle. Mais d’où provienn

10 es étaient sacrées ; et qu’en conséquence l’union fédérale de nos pays, sauvegardant leurs diversités, était une rêverie condamn

11 r disposant de cette armée ? Le traité prévoit un Conseil des ministres nationaux (représentant le point de vue de chacun des s

12 aient l’économie. Mais toute proposition de pacte fédéral plus étroit se heurtait au veto des cantons, jaloux de leur souverain

13 le en délègue partiellement l’exercice au pouvoir fédéral . Voici les textes : Article premier. — Les peuples des vingt-deux c

14 ouveraineté n’est pas limitée par la constitution fédérale , et comme tels, ils exercent tous les droits qui ne sont pas délégués

15 us les droits qui ne sont pas délégués au pouvoir fédéral . Article 5. — La Confédération garantit aux cantons leur territoire,

16 cussion et sur la ratification d’une Constitution fédérale de l’Europe, afin que l’Europe recouvre, entre les grands empires, un

17 ouplies. Nous demandons au contraire des services fédéraux organisant toutes les activités de production, d’investissement et de

18 à ses produits. Les États — et demain le Pouvoir fédéral européen — n’ont qu’un moyen d’aider la culture : c’est d’offrir à ce

19 rt sur un seul objectif décisif : la Constitution fédérale de l’Europe. La méthode proposée par les Anglais et baptisée « foncti

20 ppant de constater qu’elles résument l’expérience fédérale et fédéraliste de la Suisse ? De l’Europe à la Suisse, de la Suisse à

21 nte, qui fait la force principale de notre régime fédéral . Revenant en Suisse après la longue absence de mes années américaines

22 n savent comment ce modèle d’un système politique fédéral a pris naissance en 1848 ? Une fédération qui garantit leur souvera

23 e malaisé. Toute tentative de révision du « Pacte fédéral  », comme celle de 1832, se voyait repoussée à la fois par la gauche,

24 le en délègue partiellement l’exercice au pouvoir fédéral . Voici les textes : Article 1. — Les peuples des vingt-deux cantons

25 ouveraineté n’est pas limitée par la constitution fédérale et, comme tels, ils exercent tous les droits qui ne sont pas délégués

26 us les droits qui ne sont pas délégués au pouvoir fédéral . Article 5. — La Confédération garantit aux cantons leur territoire,

27 les organisations supranationales, les autorités fédérales prévues pour l’Europe, rétabliront en fait la souveraineté du peuple

28 nations. 27. William Rappard, La Constitution fédérale de la Suisse, p. 20. 28. Ibid., p. 83. an. Rougemont Denis de, «