1 e paix durable, mais de donner un répit à l’armée russe pour renforcer ses armements. Vous pourrez juger alors vous-mêmes qu’

2 iquer un Soviétique, c’est plus rapide. Prenez un Russe , passez-le au MVD — sorte de DDT moral nettoyant les idées subversive

3 sa façon. Voilà ce qui les distingue en bloc des Russes et des Américains, voilà le principe paradoxal de leur communauté pro

4 les sont tout autres, et parfois même absentes en Russie soviétique et en Asie. Nous avons beaucoup en commun, beaucoup plus q

5  aux États-Unis, tentés de la soumettre » et à la Russie « dont le système politique comporte une destruction du sien », mais

6 en passant par les Allemands, les Espagnols, les Russes et ceux de l’Est européen). Certains, enfin, parlent en quête d’une c

7 « L’Europe vit, depuis des années, de la peur des Russes et de la charité des Américains ! » Traduisons, maintenant, ce cri d’

8 atie occidentale et la dictature stalinienne, les Russes seraient les premiers à ne pas nous croire. En fait, ils ne cessent d

9 ique n’a jamais eu la notion de l’individuel, les Russes font tout ce qu’ils peuvent pour l’interdire et la détruire, et peut-

10 que le compte n’est pas facile à établir. Mais la Russie est du nombre…) Les neutralistes, qui dénonçaient à grands cris la di

11 ts, seront sans doute rassurés à l’idée d’un bloc russe de 200 millions établissant d’un seul coup la balance. Les États-Unis

12 vre à Genève à l’heure choisie par l’Est. Du côté russe , l’idée de manœuvre est claire : fixer la France d’abord, puis la Gra

13 ort ou à raison — d’inspirer quelque crainte à la Russie . Dans son premier discours à Genève, Zhou Enlai déclarait en substanc

14 plus que dans les dénonciations que récitent les Russes et leurs satellites en Asie. Mais le colonialisme soviétique, lui, no

15 ie, puisque celle-ci serait ouverte à l’expansion russe et chinoise. Mais assurer la paix définitive entre la France et l’All

16 sible : l’union européenne, capable d’opposer aux Russes une puissance qui les tienne en respect. Et tout le Sud-Est de l’Asie

17 , mais peut bien être détourné de ses fins par la Russie . Ils voient encore notre colonialisme. Ne sauront-ils pas voir aussi,

18 protéger. Elle pouvait même s’allier un jour aux Russes . Il fallait donc empêcher cela. Mais, d’autre part, comment défendre

19 ne doute pas de l’efficacité de la CED : c’est la Russie , dont tout l’effort diplomatique, depuis deux ans, ne vise qu’à retar

20 partout ! » ne signifiera sous Lénine : « Vive la Russie  ! » Il proclame un nouveau mythe. Il est comme une invocation à un di

21 Pour l’Angleterre, la maîtrise des mers. Pour la Russie , un messianisme despotique. Les petits pays se borneront à invoquer l

22 nt plus de quelques heures contre une attaque des Russes ou des Américains, bref de vivre en vase clos ou de jouer au pirate.

23 issage de kilomètres, ces deux mesures de musique russe indéfiniment répétées, pour ne garder que le meilleur, le plus actif

24 de se défendre plus de quelques heures contre les Russes ou les Américains : donc de se conduire en pirate ou de vivre en vase

25 t répété trois fois en anglais, en allemand et en russe . Puis quelques minutes de musique. À 8 h 7, Radio-Kossuth se tait. QU