1
me le jeu des partis politiques. L’été dernier, à
Strasbourg
, un ancien ministre français, déplorant, à juste titre, que l’Assembl
3
rrence, qui s’écriait naguère dans l’hémicycle de
Strasbourg
: « L’Europe vit, depuis des années, de la peur des Russes et de la c
4
ns plutôt le prudent idéal de certains députés de
Strasbourg
: l’enlèvement d’Europe par un escargot ! La prudence a montré ce qu’
5
forts pour l’union politique qui se poursuivent à
Strasbourg
et à Luxembourg ? Naturellement. Je suis aussi pour la fédération des
6
élaborés par les États, par l’Unesco, et même par
Strasbourg
: il s’agit, nous dit-on, « d’organiser des échanges culturels entre
7
’à un Amaury de Bène et aux frères ortliebiens de
Strasbourg
, tous condamnent le mariage, — que par ailleurs, le pape-moine Grégoi
8
e plus de pouvoir que l’Assemblée consultative de
Strasbourg
. Composée d’ambassadeurs des cantons souverains, pourvus du droit de