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r publiquement notre part bien définie dans cette
bataille
commune est un acte de propreté, un acte vital aussi pour notre pensé
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it » protestants et catholiques sur les champs de
bataille
de Villmergen et du Sonderbund… À ce taux-là, la France et l’Allemagn
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on du monde va se concentrer sur le théâtre d’une
bataille
où l’Occident désormais joue perdant. Le monde entier verra nos défai
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ération du nationalisme Goethe, assistant à la
bataille
de Valmy, s’écriait : « De ce lieu, de ce jour, on datera l’ère nouve
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s ! » aussitôt exaucé, puisque par ce seul cri la
bataille
sera gagnée. La nation à l’état naissant, comme nous la trouvons à Va
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Ceci dit, les fédéralistes doivent-ils engager la
bataille
sur le thème de « l’abandon des souverainetés » ? Je ne le crois pas,