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ent très pauvrement traduites, et privés de toute
beauté
proprement poétique et rythmique par cette double trahison. Qu’il soi
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ls ne peuvent pas ne pas s’aimer : un philtre, la
beauté
diabolique de l’un ou simplement la fatalité les contraint à s’aimer.
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s sur les axes du monde (août 1956)ak al Cette
beauté
bien drue d’énergie pure et neuve, aux matins luisants de rosée, quan
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e un évêque anglican, somnole. En face de lui, la
beauté
même, « ô toi que j’eusse aimée », sa fille sans doute, fume en feuil