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’est justement ce qui nous inquiète pour la paix,
car
nous pensons qu’ils aiment la paix, un peu comme le chat aime la sour
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utables encore que celles qu’évoquait M. Reynaud,
car
ces armées veulent occuper bien autre chose que des terrains, elles v
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eté, un acte vital aussi pour notre pensée même ;
car
si nous reculions devant ce défi de l’histoire, que pourrions-nous en
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ue le problème posé est insoluble par définition.
Car
si l’Américain tend à être une moyenne, si le sujet des Soviets est l
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drame. De l’issue de ce drame dépendent nos vies.
Car
si nous vivons aujourd’hui dans l’angoisse d’une nouvelle guerre mond
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s faits, nous n’avons pas besoin d’une idéologie,
car
nous avons nos libertés. Et ce n’est pas notre passé que nous défendo
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puissante » ou « plus puissante » que les leurs.
Car
les faits nous suffisent, et quant aux libertés, nous en avons plus q
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nquiert, qui utilise, et surtout qui transfigure.
Car
notre plus grande possibilité réside peut-être dans notre capacité de
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ion de série : son intérêt n’en est pas amoindri.
Car
il fournit une connaissance nouvelle de certaines limites de vitesse,
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e, et dont elle tire son efficacité particulière.
Car
l’action sert de gage aux mots, et dans ce sens technique ces hommes
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; l’autorité, je l’ai rejetée (pas l’obéissance,
car
mon effort actuel est de trouver l’égalité dans la seule subordinatio
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pagnes, mais moins que son activité dans la RAF «
car
la conquête de l’air me paraît être la seule tâche majeure de notre g
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rs qu’il écrivait les Sept Piliers, il la renie ;
car
« toute création est tangible. Et ce que j’essayais, je crois, c’étai
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haos. De repères, simplement, non de philosophie.
Car
Lawrence, comme plusieurs de sa race, ne se situe dans nos problèmes
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lise, et tout un courant de connaissances orales,
car
les textes écrits n’avaient pas de circulation publique. On passait
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vers l’Europe — et pas seulement pour les jeunes,
car
il y a aussi des vieillards qui marchent —, avec comme relais les foy
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lture, et très ambitieux sur ce terme de culture,
car
, à mon sens, l’Europe de demain, l’Europe unie, vaudra exactement ce
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u’a déclaré M. Rappard me touche personnellement,
car
j’ai beaucoup lu ses livres, je m’en suis beaucoup servi et voici qu’
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e rideau de fer coupe notre Europe par le milieu.
Car
vous avez à l’est du rideau, 88 millions d’habitants, contre 332 mill
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on avis, qu’une intention profondément délibérée.
Car
il s’agit ici d’une maïeutique, s’exerçant sur les mythes de l’âme. J
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imiter. Mais il y a plus dans ce cas particulier,
car
au contraire de ce que l’on pourrait croire de la plupart des civilis
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égrer, comme beaucoup le redoutent ou l’espèrent.
Car
, intégré, il ne le fut jamais, je l’ai rappelé. Mais il est en train
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« Pour ce qui me concerne, Dieu n’existe plus »,
car
il n’y aurait là rien de nouveau : on retomberait au spleen métaphysi
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e. Il ne faut pas que Dieu et le diable existent,
car
alors la responsabilité de l’homme en pâtirait. Nous sommes donc en p
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onc au profit de quelque dictature collectiviste,
car
là seulement il croira retrouver « l’engagement » que sa doctrine prô
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ent, la phrase « Dieu est mort » est un non-sens.
Car
où bien « Dieu » ne signifie rien — et dans ce cas il ne peut pas mou
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st mort, revient à faire du bruit avec la bouche.
Car
si Dieu l’Éternel avait été vivant, puis était mort, il n’eût jamais
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Karl Jaspers : Nietzsche et le christianisme. 8.
Car
Dieu, même si quelqu’un croit qu’il n’est pas, reste en tout cas une
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ère tâche de l’État sera d’écraser les opposants,
car
la nation est religion et les religions ne transigent pas. L’État se
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ue dans ce domaine son mépris foncier des hommes.
Car
l’autarcie implique que le bien-être des hommes soit sacrifié à la pu
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, hors de quoi notre Suisse n’eût jamais existé !
Car
comment comprendre la Suisse sans la situer dans ses vraies dimension
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médiocres, c’est prendre conscience de l’Europe.
Car
l’Europe est faite dans l’ensemble des mêmes éléments que la Suisse :
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ider à vivre, mais non pas à comprendre leur vie.
Car
tous, tant que nous sommes, sans le savoir, menons nos vies de civili
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une technique de l’acte sexuel sans consommation,
car
« celui qui garde (ou reprend) sa semence dans son corps, qu’aurait-i
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-Circ.) Chaque jour je m’améliore et me purifie,
car
je sers et révère la plus gente dame du monde. (Arnaut Daniel.) (De
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r d’amour sensuel se met en guerre avec lui-même,
car
le sot après avoir vidé sa bourse fait triste contenance ! (Marcabru.
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e : J’ai une amie, mais je ne sais qui elle est,
car
jamais de par ma foi je ne la vis… et je l’aime fort… Nulle joie ne m
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mariage sur la passion, ce qui est une stupidité
car
c’est confondre l’amour pour la mort avec l’amour pour la vie. Je vou
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, et ce sera peut-être un jour, au dernier jour —
car
les plus belles histoires du monde ont une fin — la fatale faiblesse
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pe, rétabliront en fait la souveraineté du peuple
car
le peuple sera associé à leur gestion. Il importe d’expliquer cela au
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gestion. Il importe d’expliquer cela aux masses,
car
ainsi sera dissipée la crainte que suscite la perte de la souverainet