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de combinaisons resteront stériles. Un mélange de
catholiques
et de juifs ne donnera pas des protestants ; pas plus qu’un mélange d
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gnols et athées, des conservateurs autrichiens et
catholiques
; des Monégasques insouciants et des partisans motorisés de la paix c
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différent de l’autre. L’un protestant et l’autre
catholique
, et bien que tous les deux éloignés de leur foi, irrévocablement marq
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ffet… comme celle qui « unissait » protestants et
catholiques
sur les champs de bataille de Villmergen et du Sonderbund… À ce taux-
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bre l’union « sacrée » de la nation dans laquelle
catholiques
, protestants et agnostiques « oubliant ce qui les divise » doivent se
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mble des mêmes éléments que la Suisse : à la fois
catholique
et protestante, latine et germanique, française et autrichienne, rhod
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ire de l’immense majorité des hérétiques. Du côté
catholique
, le mariage est tenu pour sacrement, cependant qu’il repose en fait s
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le auraient connu une version non amendée par les
catholiques
, et plus proche de l’original. Que cette hypothèse soit un jour vérif
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se à Roma. Les hérétiques reprochaient à l’Église
catholique
d’avoir inverti le nom même du Dieu qui est Amour. 14. Ce qui n’empê