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s élites aussi qui ne sont pas moins contaminées.
Certes
, nous n’allons pas opposer aux campagnes massives et mécaniques des t
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elle de la police qui ramène « dans la ligne » !)
Certes
, il y a d’autres liens entre les hommes d’Europe. Il y a leur héritag
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’une « passion » dont l’enjeu n’est pas clair. Et
certes
, les péripéties d’une telle passion peuvent bien suffire à l’intérêt
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u’elle n’a point son équivalent chez Lawrence. Et
certes
, rien n’empêche d’imaginer que ce dernier, s’il eût vécu tranquille d
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professeur Rappard. Ce que je préconise, ce n’est
certes
pas une européanisation de la Suisse, mais bien au contraire une helv
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ravers l’histoire, nos grands amis politiques » ?
Certes
non ! Ce serait, pour le coup, renoncer à notre neutralité. Or, la ne
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planète entière. « Petite Europe ? » La Sibérie,
certes
, est plus vaste… Il n’en résulte pas que la Grande-Bretagne, les Pays
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ité de la Suisse ne pose aucune question réelle ?
Certes
non. Notre neutralité est devenue un objet de discussions par la seul
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s, que l’Occident doit ses plus belles créations.
Certes
, l’école par ses manuels d’histoire, le journal par son exploitation
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a volonté de sauver nos libertés, et la jeunesse.
Certes
, on peut se demander s’il est bien sûr que la CED telle qu’elle est,
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ope unie. Et M. Molotov lui-même propose un plan…
Certes
, on ne peut espérer faire l’Europe qu’en appliquant le fédéralisme, c
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à des exigences plus commerciales qu’artistiques.
Certes
, on ne peut pas souhaiter, encore moins obtenir, une diminution du no