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ue l’on pourrait énumérer sont discutables et peu
clairs
. Les intérêts économiques, par exemple, restent conjecturaux, souvent
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pare une liberté « réelle ». Mais alors, s’il est
clair
que l’enjeu est en définitive la liberté, n’est-il pas urgent que nou
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nstatent, enferment la pensée dans une conclusion
claire
. Elles ne visaient point à entraîner, mais à cerner, à définir, à dir
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’exemple d’une « passion » dont l’enjeu n’est pas
clair
. Et certes, les péripéties d’une telle passion peuvent bien suffire à
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d d’une bonne circulation. Enfin, rien n’est plus
clair
au monde que la nécessité de notre union, rien n’est moins contesté e
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e l’Europe. Mais il y a plus. Il est parfaitement
clair
que la nation, au sens dix-neuviémiste du mot, est une forme d’associ
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maintenant la crédibilité de la nouvelle. (Il est
clair
qu’elle ne peut être estimée sur le fait qu’une majorité la récuse.)
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par l’Est. Du côté russe, l’idée de manœuvre est
claire
: fixer la France d’abord, puis la Grande-Bretagne et les États-Unis,
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! » Ici, le sentiment oblitère la logique. Il est
clair
, en effet, que les unités allemandes et les unités françaises auront
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ons », et de « droit international », mais il est
clair
que ces États-nations-Individus rendent tout ordre international impo
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as attaquer : celle de l’union européenne. Il est
clair
que tous les obstacles à cette union viennent de l’esprit nationalist
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onaliste, jacobin et paratotalitaire. Mais il est
clair
aussi que les nationalistes n’osent pas se déclarer contre l’union. I
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a théologie n’occupaient tout de même pas le plus
clair
de la vie, et n’avaient tout de même pas supprimé toute espèce d’impu
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e mercy. » Le contraste avec l’amour courtois est
clair
. Et non moins le sens donné à mercy, que plusieurs auteurs assimilent
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uisse les bancs de bois peints en faux bois jaune
clair
. On s’attendait à être interrogé, dans les trois langues nationales.