1 a servies et qui se révèlent toujours, au bout du compte , décevantes ? II. T.E.L. et Saint-Exupéry « L’ambition est un m

2 : « j’espère que dans un foyer la maison seule ne compte pas, ni la mystique locale, c’est la culture qui doit être le princip

3 , de maîtres et de disciples, presque tout ce qui compte dans la peinture, dans la musique et dans l’architecture européennes.

4 sacrées, encore moins par quelque système rendant compte de son unité. Si l’on veut établir son passeport pour l’Histoire, les

5 romis une Europe des Trente-Deux. (J’avoue que le compte n’est pas facile à établir. Mais la Russie est du nombre…) Les neutra

6 plus de forces armées nationales pour son propre compte , en dehors de celles que nécessitent la police intérieure et la prote

7 , à l’imitation des rois absolus qui n’avaient de comptes à rendre qu’à Dieu seul — mais il n’y a plus de Dieu au-dessus des na

8 nnent licites et honorables, dès qu’on les met au compte de la nation où l’on a pris la peine de naître. Ce que nul n’oserait

9 appliquant le fédéralisme, c’est-à-dire en tenant compte à chaque pas de cette double nécessité : instituer une union réelle,

10 ntre-enquête à laquelle je viens de me livrer, et compte tenu des objections les plus sensées que firent à ma thèse minima les

11 e m’éloigne un peu, l’indulgence me reprend. Tout compte fait, je leur donne raison. Quand on possède la pax helvetica, on ne