1
incte et reliée, unique et communautaire. Dans la
confusion
générale, la sémantique la plus follement précise (puisqu’un iota bou
2
n pessimiste de notre sort repose sur deux graves
confusions
. En effet, l’absence actuelle d’union ne signifie pas que l’unité mil
3
ntir dans notre siècle. Mais d’où proviennent ces
confusions
courantes ? Ce qui fausse notre optique moderne, c’est le phénomène n
4
un « traité de réarmement de l’Allemagne ». Cette
confusion
égare beaucoup de lecteurs, et tend à leur faire croire le contraire
5
sur la jalousie d’Othello. D’où enfin, l’extrême
confusion
et les éclats de passion saugrenus qui caractérisent les polémiques s
6
par les soins de l’instruction publique, c’est la
confusion
établie entre « Patrie », « État », « Nation » et « Langue ». La Pat
7
es frontières actuelles de l’État en question. La
confusion
Patrie-État-nation-Langue, résultat d’une ignorance crasse, sévit dan
8
issocier ce conglomérat monstrueux, réfuter cette
confusion
séculaire, la ridiculiser et l’extirper de l’enseignement, voilà qui
9
ssi créer certains dangers pratiques et certaines
confusions
des valeurs. Le public, sollicité de tous côtés, ne sait plus où alle
10
extricable, c’est comme une résultante de tant de
confusions
qui devaient s’y nouer, qu’apparaît la cortezia, « religion » littéra
11
le savoir, menons nos vies de civilisés dans une
confusion
proprement insensée de religions jamais tout à fait mortes, et rareme
12
o sur la jalousie d’Othello. D’où enfin l’extrême
confusion
et les éclats de passion saugrenus qui caractérisent les polémiques s