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cé à Bruxelles, devant le comité international du
Congrès
pour la Liberté de la culture, par Denis de Rougemont, directeur du s
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gemont, directeur du secrétariat international du
Congrès
. a. Rougemont Denis de, « Faire la propagande de la liberté, c’est
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senté par la note suivante : « Nous remercions le
Congrès
pour la liberté de la culture d’avoir bien voulu nous autoriser à rep
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j’en trouve quelques-unes sur l’Europe : sur nos
congrès
de La Haye et de Bruxelles, sur l’idée de culture en Europe. Il suit
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ublié qu’il présidait la commission économique du
Congrès
de l’Europe tenu à La Haye en 1948, préparé par la conférence de Mont
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e, me demanda d’ouvrir par un discours le premier
congrès
fédéraliste qui allait se tenir à Montreux. Comme j’hésitais à interv
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s de 1939 et 1940 : c’est exactement ce que notre
congrès
attend. » Ainsi fut fait. Mon discours publié en brochures par Fédéra
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ceux d’une armée et de sa politique. L’action du
Congrès
pour la liberté de la culture, depuis cinq ans, a démontré la possibi
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tualité de notre temps. Quels furent les actes du
Congrès
pendant cinq ans ? On rappelle plus loin nos conférences de savants,
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urires que prodiguent désormais les césariens, le
Congrès
va mener plus que jamais l’offensive de la liberté, sa vraie lutte po
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nq ans de présence (juin 1950-septembre 1955). Le
Congrès
pour la liberté de la culture, Paris, 1955, p. 5-6.
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oudraient s’associer à l’action internationale du
Congrès
pour la liberté de la culture sachent qu’ils trouveront ici des homme
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programme est maintenant d’y répondre. Au nom du
Congrès
pour la liberté de la culture, Le président du comité exécutif, Denis