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ité des Américains ! » Traduisons, maintenant, ce
cri
d’alarme en chiffres dûment vérifiés. Cela donne, en millions d’habit
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alogue que Malraux et Jaspers interprètent ici le
cri
de Nietzsche : comme une proclamation de l’avènement de l’homme. Ceci
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mbre…) Les neutralistes, qui dénonçaient à grands
cris
la disproportion des forces au sein des Six, entre la France et l’All
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ur, on datera l’ère nouvelle ». C’est en effet au
cri
de « Vive la Nation », clamé sur tout le front des troupes, que les F
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les Français durent la victoire. Remarquez que ce
cri
, à ce moment-là, ne signifie point : « Vive la France ! » — pas davan
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int : « Vive la France ! » — pas davantage que le
cri
: « Les Soviets partout ! » ne signifiera sous Lénine : « Vive la Rus
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mit uns ! » aussitôt exaucé, puisque par ce seul
cri
la bataille sera gagnée. La nation à l’état naissant, comme nous la t