1 1951, Articles divers (1951-1956). Faire la propagande de la liberté, c’est sauver notre culture (décembre 1950-janvier 1951)
1 Messieurs, se voit réduite à parler de questions culturelles . Cela me fait penser à de vieilles dames qui font du crochet pendant
2 e l’État, lorsque Staline déclenche ses campagnes culturelles , soyez bien certains qu’il ne joue pas aux vieilles dames, qu’il ne f
2 1952, Articles divers (1951-1956). L’Heure de l’impatience (mars 1952)
3 cessités de leur défense comme celles de leur vie culturelle , le passé comme l’avenir, la raison comme les rêves. Qu’est-ce qui le
3 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
4 conquis des débouchés à nos produits matériels et culturels , en Asie et en Afrique, par le moyen du colonialisme. Mais dans le mê
5 que je retrouve dans tous les plans et projets «  culturels  » élaborés par les États, par l’Unesco, et même par Strasbourg : il s
6 l s’agit, nous dit-on, « d’organiser des échanges culturels entre nations ». Une sensibilité fédéraliste s’irrite immédiatement à
7 servirait, dès lors, de « multiplier les échanges culturels  » comme on dit, entre la Suède et l’Espagne, par exemple ? Faire conn
8 marques que préconiser comme on fait des échanges culturels de nation à nation, c’est essayer de consolider les mythes nationalis
9 le supprimant, le problème mal posé des échanges culturels . La culture est par essence un phénomène d’échanges libres ; elle meu
10 les et des barrières douanières imposées à la vie culturelle de l’Europe et à ses produits. Les États — et demain le Pouvoir fédér
11 t de redouter que la suppression des frontières «  culturelles  » entraîne un affreux mélange de nos vertus et caractères nationaux,