1
. Que peut-on faire encore ? Eh bien ! On peut se
défendre
, simplement, et chacun dans sa sphère d’action et d’intérêts. Nous, i
2
nous a volé le mot « paix » D’autres que nous
défendent
la paix, je le sais bien. D’autres que nous et avant nous ont lancé d
3
vante qu’il devrait désigner. Ceux qui prétendent
défendre
la paix sans vouloir en même temps la liberté, se dénoncent eux-mêmes
4
, se dénoncent eux-mêmes. La vraie paix n’est pas
défendue
quand la liberté ne l’est pas ; elle n’est donc nullement défendue pa
5
liberté ne l’est pas ; elle n’est donc nullement
défendue
par les « Partisans de la Paix ». À nous donc, à nous tous, de repren
6
les camps qu’elles méritaient pourtant qu’on les
défende
. La démocratie n’est pas une panacée. Elle ne résout aucun des grands
7
ux-là mêmes qui pourraient être appelés un jour à
défendre
l’Europe et qui ne le feront pas si le point de vue de l’adversaire l
8
condition de succès, c’est de savoir ce que nous
défendons
. Quelles sont nos libertés ? Sont-elles purement formelles ? Les voul
9
ommes-nous prêts aux derniers sacrifices pour les
défendre
? Beaucoup d’entre nous, soyons francs, ne savent plus bien répondre
10
répondre. Quand on nous dit : « Vous ne pourriez
défendre
l’Europe qu’en opposant à ses ennemis une idéologie plus puissante qu
11
os libertés. Et ce n’est pas notre passé que nous
défendons
, mais bien les libertés qu’il a conquises, et qui sont la réalité pré
12
ir tyrannique et stérilisante, les foyers doivent
défendre
les droits de leurs diversités locales. J’insiste sur ce double mouve
13
à la constitution de l’Europe, mais aussi qu’ils
défendent
la diversité européenne contre le germe de tyrannie que peut contenir
14
vement vers l’union et les autonomies locales qui
défendent
leurs particularités ; paradoxe même de la vie, lutte permanente entr
15
ulture nationale, aucun historien sérieux ne peut
défendre
cette idée. La culture a toujours été internationale. Il s’agit de pa
16
ralité (6 mars 1953)s La thèse que je voudrais
défendre
devant vous tient en deux phrases : 1. Une discussion sur l’abandon v
17
un fondement solide : nous avions quelque chose à
défendre
, qui n’était pas seulement le statu quo, mais l’avenir commun de nos
18
t donc empêcher cela. Mais, d’autre part, comment
défendre
sérieusement l’Europe sans le concours d’un de ses plus grands pays,
19
battent un projet fantôme que personne n’a jamais
défendu
. Je vais le montrer par quelques exemples : « Quoi ! s’écrie-t-on, no
20
as le droit d’entretenir sa propre armée, comment
défendra-t
-elle ses colonies ? » poursuit l’opposant. Or, le cas est dûment prév
21
touchante mais tenace que leur nation pourrait se
défendre
seule, pour peu qu’elle soit « bien gouvernée ». Enfin certains se di
22
il l’entend, d’assurer seul sa prospérité, de se
défendre
seul pendant plus de quelques heures contre une attaque des Russes ou
23
. Mais nous avons sur eux l’avantage important de
défendre
une cause qu’ils n’osent pas attaquer : celle de l’union européenne.
24
e te crie merci. Contre ces clameurs gémissantes,
défends
-moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en tous lieux
25
rospérité sans plus dépendre de l’étranger, de se
défendre
plus de quelques heures contre les Russes ou les Américains : donc de