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reste une lutte idéologique et qui le restera en
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analyse, même si la guerre physique doit intervenir entre-temps. Nous
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s, voire même le jeu des partis politiques. L’été
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, à Strasbourg, un ancien ministre français, déplorant, à juste titre,
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voulons-nous vraiment ? Et sommes-nous prêts aux
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sacrifices pour les défendre ? Beaucoup d’entre nous, soyons francs,
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e, action conduite à l’étranger, et dont les fins
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leur importaient bien moins que l’expérience elle-même, moins que le
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ent obscurs sur un point décisif : celui des fins
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que poursuivait l’auteur quand il vivait ce qu’il raconte. On se repo
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avant sa mort. (Et Saint-Exupéry, dans toutes ses
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lettres, a des phrases qui rendent le même son.) S’approche le moment
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que leurs nationalismes ne remontent qu’au siècle
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, et qu’ils ont deux-mille ans d’usage commun d’un héritage que le res
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la plaque tournante de vos foyers, leur forum. Un
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mot : on a parlé tout à l’heure de culture populaire. Je ne crois pas
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les six pays du plan Schuman ne représentait l’an
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que le 40 % du volume de nos échanges. C’est donc, de la part de M. R
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lture n’avait pas attendu le succès remporté l’an
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par l’Exposition internationale de photographies de scène, pour lui a
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. (C’est ce qui s’est passé déjà pendant les deux
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guerres.) Enfin, les méthodes d’instruction et la production des arme
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ne : ils n’ont provoqué aucune guerre. Toutes les
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guerres, sans aucune exception, ont été déclarées par les pays où rég
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ons. Le nationalisme n’est donc pas seulement une
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résistance que le sentiment patriotique dénaturé et l’égoïsme politiq
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ns et des militants de l’Europe unie depuis l’été
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: l’abandon du projet de CED et les accords de Londres. Londres a réa
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ur triompher dans tous les arts. Enfin, voici un
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trait dont on verra qu’il est tout impossible de le rattacher latéral
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essentiellement d’économie politique. La semaine
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, il a toutefois retrouvé Paris pour quelques jours mais avec un emplo
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est notre force, et ce sera peut-être un jour, au
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jour — car les plus belles histoires du monde ont une fin — la fatale
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h 7, Radio-Kossuth se tait. QUI RÉPONDRA ? À ces
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paroles de la révolution déclenchée par les étudiants et par les écri