1 d’un plan, l’Européen est par essence un être qui diffère et tient à différer de son voisin et des modèles fournis. Il n’existe

2 en est par essence un être qui diffère et tient à différer de son voisin et des modèles fournis. Il n’existe donc pas, il ne peu

3 ix concentrée. Il n’y a que des hommes habitués à différer les uns des autres, et c’est tout cela qu’on nomme l’Europe. Et c’est

4 nos libertés dépendent en fait de notre droit de différer , sans lequel il n’est point de dialogue créateur. Et que c’est cela q

5 des sols différents avec des méthodes qui peuvent différer , être populaires ou universitaires. C’est une grande tâche des foyers

6 us avons de commun, c’est une certaine passion de différer , une certaine manière de dire « moi », et de nous distinguer ainsi de

7 on la fonder ? Précisément, dans notre passion de différer les uns des autres : c’est ce que nous avons tous en commun. J’écris

8 ormisation est sa réponse à tout. Que personne ne diffère , il deviendrait mon juge ! pense l’État idéologique, né d’une révolut

9 it national. » (On voit donc que nation et Patrie diffèrent pour lui comme esprit et nature.) Cet esprit national est « un dans l