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fendue quand la liberté ne l’est pas ; elle n’est
donc
nullement défendue par les « Partisans de la Paix ». À nous donc, à n
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défendue par les « Partisans de la Paix ». À nous
donc
, à nous tous, de reprendre la tâche, honnêtement cette fois-ci, carte
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e qu’elle a pourtant joué. D’autres facteurs sont
donc
intervenus. En fait le rayonnement, la puissance de l’Europe ont résu
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s vrais secrets de notre survivance indépendante,
donc
de nos libertés les plus concrètes. Il s’en faut cependant, hélas ! d
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phrase ait paru toute naturelle, qu’elle reflète
donc
un état d’esprit courant, voilà qui prouve que notre culture n’est pa
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’adversaire les a, par avance, « occupés ». Ainsi
donc
, pratiquement — j’insiste sur le mot « pratiquement » — point d’Europ
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en pour l’attendre : il est déjà conçu, il naîtra
donc
. Cet homme sera tout ce qu’on voudra, mais jamais un Européen. À l’ap
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de son voisin et des modèles fournis. Il n’existe
donc
pas, il ne peut exister d’Européen moyen, résumant les vertus et les
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chose qui soit commun à tous, le problème revient
donc
à faire comprendre à ces 300 millions d’hommes et de femmes, qu’ils o
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ement liquidés. L’éducation européenne consistera
donc
non point à fabriquer de l’Européen moyen, mais bien à réveiller en c
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ne va-t-elle pas nous mettre debout ? Avons-nous
donc
cessé d’être des mâles, qui formulent et dirigent, et, dans notre dét
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déserter leur propre cause. Qu’ils se rapprochent
donc
pour mieux en délibérer. Qu’ils fassent, avec sang-froid, l’inventair
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e celui qui pense et ceux qui agissent ; il n’y a
donc
plus de communauté réelle. Et c’est pourquoi le xxe siècle verra tan
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e je faisais. Eh bien, en cela, j’ai échoué. J’ai
donc
changé de direction… Je me suis engagé dans la RAF pour me mettre au
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ussi grand que les deux autres additionnés, voici
donc
vingt petits pays, dont pas un seul n’est à l’échelle du siècle. Il s
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’avaient pas de circulation publique. On passait
donc
ainsi du foyer de culture à la masse de la population par une série d
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ateur du plan Marshall ait prononcé son discours,
donc
avant que l’idée d’une fédération européenne soit devenue américaine,
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uisses à la conférence de Londres, en 1949. Ainsi
donc
, et sans remonter à Henri IV ou à Victor Hugo, on trouve suffisamment
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nier que le 40 % du volume de nos échanges. C’est
donc
, de la part de M. Rappard, juger de la viabilité de l’Europe d’après
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abitants, contre 332 millions à l’ouest. Ce n’est
donc
qu’un peu plus d’un cinquième des Européens que nous perdons, proviso
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plus petit nombre d’habitants pencherait. Il faut
donc
tenir compte des richesses naturelles et de la production matérielle.
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isins et frères en civilisation. Ceux-ci seraient
donc
bien mal venus à se plaindre aujourd’hui qu’on les exclut. Les Anglai
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t le pèlerinage de nos festivals de musique offre
donc
un instantané saisissant de l’état présent des arts en Occident. Une
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vision étant son vrai « message ».) Elle propose
donc
à l’imagination un exercice spirituel, assez analogue, il me semble,
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ité serait aujourd’hui sans objet, et nous devons
donc
l’éviter ; 2. La neutralité ne doit pas servir de prétexte à la Suiss
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ait gratuit, au pire sens de ce terme. On ne voit
donc
pas d’objet concret à une discussion, aujourd’hui, sur l’abandon de n
27
ent anti-européennes, or vous êtes des Européens,
donc
vous ne pouvez pas rester neutres entre l’Europe et ses ennemis. À ce
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ent d’abandonner notre neutralité, rien ne serait
donc
changé à cet égard. Nombre de pays qui ne sont pas neutres ont fait b
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u de l’histoire de l’Europe ; que son sort dépend
donc
à tous égards du sort de l’Europe. (Même si M. Rappard démontre que s
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it être, en même temps, le roi de Prusse. Je suis
donc
né à mi-chemin entre France et Allemagne, avec beaucoup d’ancêtres fr
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te, et la nécessité d’une union européenne. C’est
donc
bien en tant que fédéraliste que je réagissais violemment aux hitléri
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ngile (evangelos : la bonne nouvelle). Nous voici
donc
contraints d’examiner premièrement les sources et, secondement, la cr
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esponsabilité de l’homme en pâtirait. Nous sommes
donc
en présence d’une morale fanatique, c’est-à-dire d’une morale prête à
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i-même s’il veut rejoindre la morale. Il se niera
donc
au profit de quelque dictature collectiviste, car là seulement il cro
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rès avoir vécu en tant que personne, il se serait
donc
produit, à un certain moment précis, dans le temps et dans l’espace (
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e d’une personne bien réelle et distincte. Il est
donc
normal que le Dieu personnel reste l’Absurde, en dehors d’une rencont
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en allons, mais que les autres arrivent ! L’Asie,
donc
, doit vouloir autant que nous, et autant que l’Amérique, l’Europe uni
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vait même s’allier un jour aux Russes. Il fallait
donc
empêcher cela. Mais, d’autre part, comment défendre sérieusement l’Eu
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rononcer dans un délai très court. Son choix sera
donc
décisif. Après deux ans de débats passionnés, ne serait-il pas grand
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d’un peu plus près de quoi l’on parle ? Quel est
donc
le contenu du projet, trop souvent ignoré par l’esprit polémique ?
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i la CED est acceptée demain, que se passera-t-il
donc
, pratiquement ? Trois choses, dont la première seulement sera visible
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s, et une efficacité technique accrue.) Il s’agit
donc
, en fin de compte, de l’organisation dès le temps de paix d’un comman
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fet la Cour et l’Assemblée du plan Schuman. Voilà
donc
amplement assurés le contrôle national et le contrôle démocratique de
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s qui la contrôlent, l’Armée européenne ne pourra
donc
servir qu’à des tâches strictement et purement défensives — en cela c
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nie serait forte et leur résisterait. Ils veulent
donc
une Europe divisée. Or, ce qui nous divise, c’est le nationalisme : i
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qui nous divise, c’est le nationalisme : il faut
donc
le flatter et raviver les haines provoquées par les guerres qu’il a l
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t naissant, comme nous la trouvons à Valmy, c’est
donc
un idéal, une idéologie, le principe d’une nouvelle communauté non de
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t les religions ne transigent pas. L’État se voit
donc
contraint de renforcer la police, de centraliser tous les éléments du
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ctère, mais c’est son esprit national. » (On voit
donc
que nation et Patrie diffèrent pour lui comme esprit et nature.) Cet
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atteint sa pleine vigueur (surtout en s’opposant,
donc
par la guerre), puis fatalement décline et meurt. « Chaque peuple mûr
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incarne le plus haut concept de l’Esprit. » Voici
donc
les peuples élevés à la dignité d’intentions particulières de l’espri
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au-dessus des nations. Le droit divin se traduit
donc
par le droit de l’État le plus fort. Celui-ci ne connaît plus d’autre
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é de l’État dans le domaine militaire. À ses yeux
donc
, une France non absolument et totalement souveraine n’était plus la F
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déclarer cyniquement antifrançais. Tout se passe
donc
comme si, en touchant à la souveraineté, on touchait au Sacré. Le trè
55
t surtout angoisse de perdre son identité. Elle a
donc
pris les caractères cliniques d’un complexe. D’où la difficulté, pour
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la souveraineté nationale. Le fédéraliste ne peut
donc
adopter, devant la croyance à la souveraineté nationale absolue, qu’u
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langue, à l’économie, et à la culture, nous jette
donc
finalement en plein délire totalitaire, seul achèvement possible du n
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ontières des États-nations. Le nationalisme n’est
donc
pas seulement une dernière résistance que le sentiment patriotique dé
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, comme je l’ai rappelé tout à l’heure. J’estime
donc
que les fédéralistes doivent refuser le faux dilemme : souveraineté o
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s à la circulation des idées et des œuvres, c’est
donc
aller diamétralement à l’encontre du but allégué. Seule une Europe fé
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a triomphé, lors du refus de la CED. Nous voyons
donc
qu’il n’est pas plus facile de faire l’Europe par pièces et morceaux,
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re association. Un festival est d’abord une fête,
donc
quelque chose d’exceptionnel, qui sort de la routine des programmes d
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iversités nationales et régionales. Notre but est
donc
à la fois d’harmoniser les efforts dans un esprit de collaboration eu
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pour notre conduite morale et religieuse. Je vais
donc
poser quelques faits, comme un piège. J’éviterai à la fois d’indiquer
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et moral ; le poids de l’interdit lié à la mère (
donc
au principe féminin) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la femme r
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re ne cesse pas d’être virginale, qu’elle échappe
donc
à l’interdit maintenu sur la femme de chair. L’union mystique avec ce
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viens de rappeler les manifestations. Nous voici
donc
devant une réalisation (ou épiphanie dans l’Histoire) du phénomène qu
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tion du corps. La « chasteté » tantrique consiste
donc
à faire l’amour sans le faire, à rechercher l’exaltation mystique et
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début du xiie siècle, ces « lois d’Amour » sont
donc
déjà fixées, comme un rituel. Ce sont Mesure, Service, Prouesse, Long
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dans l’état actuel de nos connaissances », reste
donc
incroyable jusqu’à nouvel avis. Je cherche un sens, donc des analogie
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croyable jusqu’à nouvel avis. Je cherche un sens,
donc
des analogies illustratives et illuminatives. Et je ne prétends aucun
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veut dire proprement : entier). Consoler signifie
donc
étymologiquement : rendre entier. 16. Voir Mircea Eliade, Technique
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at : cette habitude de nous sentir “en règle”, et
donc
de nous croire protégés par toutes les lois divines et humaines, comm
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e les oreilles du train-train de nos corruptions.
Donc
les Suisses que je vois en troisième classe offrent l’image de l’homm
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ques heures contre les Russes ou les Américains :
donc
de se conduire en pirate ou de vivre en vase clos. Ces limites décisi
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t surtout angoisse de perdre son identité. Elle a
donc
pris les caractères cliniques d’un complexe. D’où la difficulté, pour
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la perte de la souveraineté nationale. » Il n’est
donc
pas exact que nos nations, en vue de s’unir, doivent sacrifier ce qui
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question : pourquoi l’Europe unie ? il nous faut
donc
répondre maintenant : pour que l’Europe recouvre, entre les grands em