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ame des pensées, l’idée platonicienne du principe
féminin
, le culte de l’Amour contre le mariage, en même temps que la chasteté
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ids de l’interdit lié à la mère (donc au principe
féminin
) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la femme reste « impur ». Ce c
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me de chair. L’union mystique avec cette divinité
féminine
devient alors une participation à la puissance légitime du Dieu lumin
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déalisation, voire d’une divinisation du principe
féminin
. Ce qui ne peut qu’aviver la contradiction entre les idéaux (eux-même
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culte se concentre autour de ce principe cosmique
féminin
; la méditation tient compte de ses « pouvoirs », la délivrance devie
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et de repos, l’amante synthétise toute la nature
féminine
, elle est mère, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut »20.
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et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe
Féminin
de la çatki, le culte de la Femme, de la Mère, de la Vierge. Il parti