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, ce n’est pas la paix, c’est un mot. Il est très
facile
, à mon avis, de distinguer entre le mot paix et la réalité vivante qu
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Soviets (il faut toujours partir des cas les plus
faciles
). Pour réussir un bon Américain moyen, ne prenez pas un Mohican : ces
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oins les Anglais ; quant à l’honneur, il est plus
facile
de mourir pour lui que d’en vivre ; mieux vaut mourir que de conduire
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ustrés des journaux. C’est une forme de diffusion
facile
, qui ne connaît pas de frontières et ne nécessite aucune traduction.
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s faits historiques les mieux établis et les plus
faciles
à vérifier dénoncent le peu d’importance réelle de nos différences na
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des Trente-Deux. (J’avoue que le compte n’est pas
facile
à établir. Mais la Russie est du nombre…) Les neutralistes, qui dénon
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s adversaires et des partisans de la CED apparaît
facile
à décrire. On peut même la prévoir selon l’âge, le parti, et surtout
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de la CED. Nous voyons donc qu’il n’est pas plus
facile
de faire l’Europe par pièces et morceaux, que de la faire dans un seu
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fiants, et les saboteurs sournois, n’est pas plus
facile
que d’attaquer de front, franchement, une fois pour toutes, ce qui in
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hr et Madariaga, entre Jaspers et Croce ? Rien de
facile
à définir, sans doute. Pas un slogan. Mais ce fait et ce mode d’expér
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urd’hui : elle consistait à croire qu’il est plus
facile
de faire l’Europe par pièces et morceaux que de la faire dans un seul
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ire dans un seul élan fédérateur : qu’il est plus
facile
de tourner les obstacles que de les attaquer là où ils sont : dans le